Soit on définit la démocratie de façon à considérer le marché comme sa plus haute expression, et la social-démocratie comme une forme pervertie de démocratie. Soit on oppose catégoriquement démocratie et marché.
Quel est précisément le lien entre la main visible de l'éthique et la main invisible du marché ? Y a-t-il un sens à encourager une prise de conscience de l'éthique au sein d'un système autorégulateur ? Ne s'agit-il pas là de deux principes d'organisation opposés et non-complémentaires ?
C’est déjà un comble que les opposants au marché libre accusent de manière erronée le capitalisme de la pollution environnementale, des dépressions économiques et des guerres.
Certaines entreprises réussissent « grâce » à l’aide de l’État. La symbiose entre l’État et les entreprises privilégiées peut parfois atteindre un tel niveau que les deux se confondent.
A l'heure ou certains catholiques dénoncent « l'idôlatrie du marché » et appellent à la création d'une banque centrale mondiale, il faut lire cet article de Daniel Villey, salué en 1960 par Murray Rothbard comme "un article important écrit par un économiste catholiques français pro-libre-marché"
Le raisonnement économique peut s'appliquer même dans ce domaine où il semblait a priori exclu. Quel meilleur endroit pour appliquer la logique de l'action humaine que le mariage et la famille ?