La question des logements insalubres
Dans cet article retrouvé dans la presse parisienne, Gustave de Molinari commente un récent projet de loi sur les logements insalubres. Il regrette que le législateur n’ait pas vu que l’on ne se loge pas dans un lieu insalubre par goût, mais par l’état du marché : que c’est par conséquent de concurrence et de liberté, plus que de restrictions, que la construction a besoin. Enfin, il appelle à une baisse de la fiscalité qui, sur les produits courants, aurait pour effet de libérer une part du budget des plus pauvres.