Cette remarquable traduction de Guillaume Duclouet est agrémentée de nombreuses notes de bas de page éclairant le contexte historique et les auteurs cités.
Selon Bryan Caplan, le livre de Michael Huemer est novateur en ce qu’il justifie le libertarianisme à partir d’intuitions morales du sens commun, auxquelles tout le monde peut adhérer.
Alexander McCobin, président, co-fondateur de Students for Liberty et doctorant en philosophie, nous démontre pourquoi et comment le libertarianisme présente un attrait universel.
Le libertarianisme n'est pas une philosophie globale qui aurait réponse à tout, qui nous donnerait le sens de l'existence, de la vérité, de l'art et de l'amour. C'est une philosophie politique et non une éthique.
La doctrine de la liberté, ou doctrine «libertarienne », reconnaît à chaque individu le droit de vivre sa vie comme il l’entend, à condition qu’il respecte ce droit chez les autres.
Lu par Philippe Seigneur, Institut Coppet.
Podcast IC - Histoire de la liberté par David Boaz, Quatrième partie
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En un sens, il n’y a toujours et jamais eu que deux philosophies politiques : la liberté et le pouvoir. Soit les gens devraient être libres de vivre leur vie comme ils l’entendent, tant qu’ils respectent ces mêmes droits pour autrui, soit certains devraient pouvoir utiliser la force pour obliger les autres à agir de la manière qu’ils n’auraient pas choisie.
David Boaz nous raconte ici l’histoire de la liberté. De son point de vue, américain et libertarien, nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental clairement libéral mais cette liberté est incomplète. En effet, la subsistance des états tels que nous les connaissons, même avec des pouvoirs limités, n’est pas une garantie totale de liberté et c'est ainsi que la lutte pour la liberté continue d’évoluer et d'être indispensable.
David Boaz nous raconte ici l’histoire de la liberté. De son point de vue, américain et libertarien, nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental clairement libéral mais cette liberté est incomplète. En effet, la subsistance des états tels que nous les connaissons, même avec des pouvoirs limités, n’est pas une garantie totale de liberté et c'est ainsi que la lutte pour la liberté continue d’évoluer et d'être indispensable.
Le tableau du Dr Ashford distingue cinq écoles du libertarianisme et huit auteurs fondamentaux. Les auteurs son comparés ici selon leur théorie de la connaissance, leur critique de l'étatisme et le rôle qu'ils accordent à l'État.
Un État libertarien permet à chacun d’entre nous de vivre non pas la meilleure vie comme l’envisage le consensus de tous, mais la meilleure vie comme chacun de nous la définit.
Un État, s’il veut réellement être un État selon la plupart des définitions, doit remplir deux critères – et les faire appliquer. D’abord, l’État doit maintenir un monopole de l’usage de la force au sein de la région géographique qu’il contrôle. En second lieu, l’État doit collecter l’impôt.
Nozick dit que nos droits fonctionnent comme des « contraintes secondaires », limitant ce que d’autres – en incluant l’État – peuvent nous faire. Nous ne pouvons pas marchander nos droits pour des avantages ou des bénéfices particuliers.
Ralph Raico examine la controverse intellectuelle entre les libertariens et les conservateurs sur la question de la tradition : un regard clairvoyant sur les erreurs de la vieille critique conservatrice du libertarianisme et sur la vulnérabilité du conservatisme à l’égard de la tentation étatique.
Une fois ces mythes réfutés, les lecteurs seront en mesure de discuter du libertarianisme, libres de l’influence des idées fausses ; il sera alors possible de débattre de cette philosophie, d’en évaluer les mérites et les démérites.
L’état-providence moderne a grandement vidé les propriétaires privés du droit d’exclusion impliqué par le concept de propriété privée. L’égalitarisme, sous toutes ses formes, est incompatible avec l’idée de propriété privée. La propriété privée implique exclusivité, inégalité et différence.
Il n’y a pas de chemin facile dans notre combat contre l’État, mais avec un réajustement majeur d’attitude et une approche plus émotionnellement intelligente, nous pouvons réussir beaucoup mieux à convertir et à influencer les électeurs. Il nous faut seulement être assez courageux pour tout d’abord admettre qu’un changement de stratégie est depuis longtemps nécessaire.