La Loi de Say permet de comprendre ce qu’il se passe sur le marché immobilier des Etats-Unis, affirme Ron Paul dans cet article proposé en traduction inédite.
Chine : tandis qu’il est risqué de critiquer ouvertement le gouvernement, des cours d’économie autrichienne diffusés sur les réseaux sociaux permettent de parler tranquillement de liberté.
Selon Bryan Caplan, le livre de Michael Huemer est novateur en ce qu’il justifie le libertarianisme à partir d’intuitions morales du sens commun, auxquelles tout le monde peut adhérer.
Alexander McCobin, président, co-fondateur de Students for Liberty et doctorant en philosophie, nous démontre pourquoi et comment le libertarianisme présente un attrait universel.
« La meilleure chose à faire pour la liberté serait de diviser l’Europe en plein de petits États. Cela vaut également pour l’Allemagne. Plus l’expansion territoriale d’un État est petite, plus il est facile d’émigrer et plus l’État doit se montrer conciliant envers ses citoyens, afin de garder ceux qui sont productifs. »
François Facchini est professeur agrégé des Universités, docteur ès sciences économiques. Il enseigne les sciences économiques à l’Université Paris Sud.
Ce texte peu connu est une réflexion sur ce que Tocqueville appelle la démocratie pure pratiquée dans les cantons suisses, à savoir ce que nous appelons aujourd'hui la démocratie directe.
Germaine de Stäel a imprimé au roman une direction puissante, hasardeuse, mais féconde. Elle a préludé au renouvellement spiritualiste de la philosophie. Elle a contribué à fixer ce qui devait être au moins pendant trente ans, la vérité politique de la France et ce qui restera en partie celle de tous les temps.
Robert Leroux et David Hart font partie du comité d'honneur dela revue Laissons Faire, et sont deux spécialistes reconnus de la pensée libérale française. Leur anthologie est une grande première dans le monde éditorial francophone.
Moins original que son maître Gustave de Molinari, et moins flamboyant que Frédéric Bastiat, Guyot a néanmoins consacré toute son existence comme ces deux hommes : à défendre à chaque seconde la liberté individuelle contre les assauts — à terme hélas couronnés de succès — de l’interventionnisme.
Recension critique de Gérard Minart, Entrepreneur et esprit d’entreprise. L’avant-gardisme de Jean-Baptiste Say, L’Harmattan, décembre 2013, 178 pages, 18 euros
De la liberté de la presse est l’un des premiers et des plus méconnus écrits de Jean-Baptiste Say. Paru en 1789, il est significatif du progrès, en France, des idées de liberté. Il est aussi une contribution courageuse et bien sentie de celui qui devint plus tard le plus grand économiste libéral français.
Beaucoup d'Américains, de la Glenview State Bank of Chicago à l'auteur Ellen Brown, supposent que le régime économique nazi était un succès, mais un examen plus attentif raconte une histoire de rationnement, de pénuries, et de privations.
La bonne méthode n’est pas d’engager une bataille idéologique frontale, mais de changer les règles du jeu afin que le sommet de l’État et la frange étatiste de l’électorat deviennent au mieux alliés, au pire neutres.
L'honneur de Quesnay, c'est d'avoir développé scientifiquement le sens véritable et l'union intime de deux termes que certains écrivains s'obstinent à regarder comme antinomiques, la liberté de l'individu d'une part, et de l'autre l'ordre social qui, bien compris, en est avant tout le respect.
L’économie néoclassique cache sa nudité épistémologique derrière des habits de représentations symboliques et de manipulations mathématiques traduites par des modèles formels.
Le monde entier est couvert de leçons sur le mérite de la liberté économique. Nos vies quotidiennes sont dominées par les glorieuses réalisations du marché.
Les dispositions anti-discriminatoires frappent au cœur de la liberté, avec un coût social très élevé. Le capitalisme libéral inclut et exclut en fonction du rapport monétaire, et sans tenir compte des caractéristiques que les collectivistes de toutes sortes considèrent comme importantes.