« Atlas Shrugged » n'est pas seulement un roman. Il est aussi – où devrais-je dire, il est avant tout –, une analyse convaincante des maux qui gangrènent notre société, un rejet convaincant de l'idéologie de nos soi-disant « intellectuels »
Dans le sillage de la crise financière qui a d'abord frappé le monde en 2007 et 2008, il y a eu comme une véritable renaissance dans les études de l’œuvre de Mises, car ce sont les disciples de Mises qui avaient les explications les plus convaincantes des phénomènes économiques qui laissaient la plupart des soi-disant experts confus.
Voici un recueil d'essais rédigés entre 1923 et 1946, portant sur la stabilisation de la monnaie, les cycles économiques, et la politique monétaire contra-cyclique.
S’adressant directement à Hazlitt, qu’il appelait son « illustre ami », Mises déclara que si cette nouvelle génération de défenseurs de la liberté devait trouver le succès dans ses efforts, « ce serait dans une large mesure votre mérite, le fruit de votre travail de ces 70 premières années de votre vie »
Une critique du socialisme doit partir d'une définition correcte du phénomène, et user d'une méthode acceptable par quiconque, par les socialistes comme par leurs adversaire.
Le quatrième et dernier grand ouvrage de Mises, Théorie et Histoire (1957), a eu remarquablement peu d'impact et a rarement été cité, même par les jeunes économistes du récent renouveau autrichien. Il reste de loin le chef-d'œuvre le plus négligé de Mises. Et pourtant il fournit le soubassement philosophique de l'Action humaine.
Avec Jeffrey Tucker, vice-président éditorial du Mises Institute, Damien Theillier, président de l'Institut Coppet et Daniel Rabourdin à la caméra.
Juillet 2010, Auburn, Alabama.
Au sommaire de ce nouveau numéro : une traduction inédite d'un texte de Ludwig von Mises sur la liberté et la propriété ; la modestie du laissez-faire ; Benjamin Constant économiste ; ainsi qu'un dossier complet consacré à l'opposition entre Proudhon et Molinari à l'aube de la Révolution de 1848.
La Première Guerre mondiale a provoqué des destructions et des maux infinis. La solution pour l’avenir, écrit Ludwig von Mises en 1919, est dans l’application des principes du libéralisme, non dans la revanche et la renaissance de l’impérialisme.
Après la parution de L'économie en une leçon par Henry Hazlitt, l'Institut Coppet s'apprête à publier le deuxième volume de la Bibliothèque Autrichienne. Il s'agira du livre de Ludwig von Mises, Nation, État et Économie (1919).
Mark Thornton est un économiste Américain de l’École Autrichienne. Senior Fellow au Ludwig von Mises Institute, il a reçu son Ph.D. en économie de l’Université d’Auburn.
1° De l’aventure du Colloque Lippmann au « néo-libéralisme » selon Michel Foucault. 2° La révolution de la liberté aux USA. De Ludwig von Mises à Ron Paul.
Depuis 100 ans, l’école autrichienne, sous l'égide de Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, a développé une théorie de l’entrepreneur essentielle pour comprendre les crises.
Depuis 100 ans, l’école autrichienne, sous l'égide de Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, a développé une théorie de l’entrepreneur essentielle pour comprendre les crises économiques.
Beaucoup pensent que Keynes a introduit la théorie d’une intervention gouvernementale massive visant à renforcer l'économie. Ludwig von Mises fit remarquer que Keynes n'avait en fait avancé aucune idée nouvelle. Les prescriptions de Keynes pour sortir de la Grande Dépression existaient depuis longtemps, et ce sont ces idées qui nous ont plongés dans la Dépression.
Selon Jean-François Revel, ces textes, quoique parus en 1884, pourraient être signés de Ludwig von Mises, Friedrich Hayek ou Milton Friedman, tant l’analyse de l’hypertrophie étatique y préfigure les critiques actuelles.
Ludwig von Mises confirme dans les années 20 que la critique de Bastiat « de tous les protectionnistes et tendances associées reste non surpassée à ce jour. Les protectionnistes et interventionnistes n’ont pas été capables d’avancer un seul mot d’une réponse pertinente et objective »