Ludwig von Mises – Le libéralisme

Publié en 1927, Le Libéralisme de Ludwig von Mises demeure l’une des plus brillantes présentations des principes libéraux jamais écrites. Dans ces pages, Mises y expose avec force et cohérence les fondements économiques, politiques et moraux d’une société libre. Ce texte majeur, d’une actualité saisissante, constitue sans doute l’ouvrage le plus complet et le plus convaincant pour comprendre l’esprit du libéralisme classique.

Ludwig von Mises – L’action humaine

L’Action humaine est l’œuvre maîtresse de Ludwig von Mises, la somme intellectuelle d’une vie consacrée à l’étude de l’économie et de la société. Dans cet ouvrage, Mises parvient à embrasser et articuler avec une cohérence remarquable l’ensemble de sa pensée, offrant au lecteur bien plus qu’une simple synthèse : un véritable manuel de l’école autrichienne, d’une profondeur conceptuelle inégalée. À la fois traité, guide et source inépuisable de réflexion, L’Action humaine demeure l’un des sommets de la pensée libérale et économique moderne.

Ludwig von Mises – La mentalité anticapitaliste

Publié en 1956, La Mentalité anticapitaliste est l’un des essais les plus singuliers de Ludwig von Mises. Loin des démonstrations économiques de ses grands traités, Mises y explore les ressorts psychologiques et sociaux de l’hostilité envers le capitalisme. Il y montre que cette haine n’est pas fondée sur la raison, mais sur le ressentiment : celui d’individus frustrés par les exigences impersonnelles du marché.

Ludwig von Mises – Le chaos du planisme

Dans Le chaos du planisme, Ludwig von Mises examine l’idée selon laquelle l’action gouvernementale pourrait organiser la production et la société de manière plus juste et plus efficace. Il soutient au contraire que, sans propriété privée et sans prix libres, la planification économique se prive des repères nécessaires à la coordination des actions humaines. À travers cette critique du planisme, Mises esquisse une réflexion plus large sur l’ordre social moderne et les conditions de toute coopération rationnelle entre les individus.

Ludwig von Mises – La bureaucratie

Publié en 1944, La Bureaucratie explore comment les principes de l’analyse économique peuvent éclairer le fonctionnement des institutions non marchandes. Ludwig von Mises y examine le comportement des bureaucrates en utilisant la même « boîte à outils » que celle employée par l’économiste pour analyser les choix des consommateurs et des producteurs. Loin de réduire la bureaucratie à un destin fatal ou à un vice moral, il la présente comme une réponse nécessaire là où les prix ne peuvent guider l’action, et comme inefficace lorsque les prix pourraient remplir ce rôle.

Ludwig von Mises – Théorie et histoire

« Le quatrième et dernier grand ouvrage de Mises, Théorie et Histoire (1957), a eu remarquablement peu d’impact et a rarement été cité, même par les jeunes économistes du récent renouveau autrichien. Il reste de loin le chef-d’œuvre le plus négligé de Mises. Et pourtant il fournit le soubassement philosophique et l’élaboration de la philosophie sous-tendant l’Action humaine. C’est la grande œuvre méthodologique de Mises, qui explique la base de son approche de l’économie et qui offre des critiques étincelantes de solution de rechange aussi fallacieuses que l’historicisme, le scientisme et le matérialisme dialectique marxiste. » (Murray Rothbard)

Ludwig von Mises – Le gouvernement omnipotent

Publié en 1944, Gouvernement omnipotent est l’un des ouvrages les plus lucides de Ludwig von Mises sur la montée du totalitarisme au XXᵉ siècle. Mises y démontre que la guerre, le nationalisme économique et la planification étatique procèdent d’une même racine intellectuelle : la croyance dans l’omnipotence du gouvernement. Contre cette illusion, il défend la société libre fondée sur la coopération volontaire et pacifique dans le cadre de la division (internationale) du travail. Ce livre est à la fois une analyse historique des dérives collectivistes et un plaidoyer vigoureux pour le libéralisme classique.

Socialisme, par Ludwig von Mises

Dans cet ouvrage majeur, publié pour la première fois en 1919, Ludwig von Mises instruit le procès du socialisme d’après les principes de l’école autrichienne. Sa réfutation logique, reposant sur des arguments tant anciens que nouveaux, lui valut sa notoriété, et fut un jalon important dans l’histoire de la pensée. Dans l’immédiat, cependant, l’ouvrage ne parvint pas à enrayer la montée en puissance des totalitarismes inspirés par le socialisme, au cours du XXe siècle.

Sortie du Calcul économique en régime socialiste par Ludwig von Mises

Cette publication du jeune Mises a une importance historique considérable. En 1920, l’économiste autrichien livrait là autre chose qu’un texte de circonstance ou une rapide ébauche : sa brochure développait à fond une question de principe, celle de la possibilité ou de l’impossibilité d’un régime économique où la propriété privée des moyens de production était abolie.
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L’impérialisme, son coût et ses dangers (préface à Nation, État et Économie de L. von Mises)

En 1919, après avoir dû quitter le confort de la scène intellectuelle de Vienne pour rejoindre le front des combats, Mises revient à ses activités et prépare un ouvrage, Nation, État et Économie, dans lequel il entend tirer les leçons du récent conflit mondial, redresser les conceptions erronées que les hommes se sont faites sur la nation, et fixer la voie pour un avenir plus radieux.

Sortie de Nation, État et Économie (1919) de Ludwig von Mises

L'Institut Coppet est heureux d'annoncer la sortie en format papier et gratuitement en numérique de : Nation, État et Économie (1919), par Ludwig von Mises. Cet ouvrage, qui était déjà disponible dans plusieurs langues européennes, est publié pour la première fois en français. À l'heure où l'on commémore le centenaire de la Première Guerre mondiale, il est aussi d'une certaine actualité.
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Le calcul économique en régime collectiviste. Par Ludwig von Mises

Ce qui caractérise le socialisme, c’est que la répartition des biens de consommation doit être indépendante de la production et de ses conditions économiques. Par essence, la propriété collective des biens de production est inconciliable avec le fait de fonder la répartition – même partiellement – sur l’imputation économique du produit à chacun des facteurs de la production.