Pour Mises, la loi de Say est venue mettre fin au XIXe siècle aux idées fausses en économie. Cette loi de Say, nous dit Mises, a permis de distinguer les économistes des charlatans.
L'intérêt de ce livre, c'est qu'il nous plonge au cœur du débat sur la légitimité du droit de propriété intellectuelle, un débat polémique qui divise profondément les libéraux/libertariens.
Ce colloque avait pour but de rassembler les libéraux, à l’initiative de Louis Rougier sur le thème du livre de Lippmann « La cité libre » dont l’objectif est de « rénover » ou « réviser » le libéralisme.
La vraie-fausse candidature de Frédéric Bastiat, dans le style « anonymous », a pour objectif de combler un vide : l’absence de candidature authentiquement libérale à la présidentielle.
« L'Individualisme est la doctrine politique d'après laquelle l'Individu est la fin et l'Etat le moyen. L'Individualisme remplace l'ancienne formule : « l'individu pour l'Etat » par celle-ci : L'Etat pour l'individu. L'Individualisme n'admet pas qu'on puisse imposer une contrainte à un individu qui ne fait de mal à personne. »
Avec Free, dans la téléphonie mobile, c'est la même chose : il y a les emplois qui sont supprimés à court terme, que l'on voit, et les emplois crées dans les autres secteurs de l'économie dues à une hausse du pouvoir d'achat que l'on ne voit pas.
Le cœur de cet ouvrage, est de dire que le capitalisme est le seul système compatible avec la dignité humaine, la prospérité et la liberté. Planifier l’économie, c’est vouloir planifier les hommes au moyen de contraintes, de réglementations qui finissent par éteindre la liberté individuelle. Non seulement la liberté s’éteint, mais la prospérité n’est jamais au rendez-vous.
Quel est le rôle de la monnaie ? Quel est le rôle de l'Etat dans la création de monnaie ? C'est à ces questions que répond Frédéric Passy (1822-1912), économiste libéral, admirateur de Bastiat et grand pédagogue.
Robert Nozick raconte l'histoire de l'esclave, une histoire en 9 étapes et pose la question : A quelle étape entre la première et la neuvième, cette histoire est devenue autre chose que l'histoire d'un esclave ?
Le libéralisme moderne a évolué vers une croyance à des degrés divers en ce qui pourrait être appelé de façon appropriée, dans un sens général, l’étatisme.
Molinari appartient à une génération d’économistes qui vont marquer le XIXe siècle d’une forte empreinte libérale et qui constitueront une véritable école regroupée autour de Gilbert-Urbain Guillaumin et du Journal des économistes à Paris.
Dans une France déjà amplement hypersocialisée et donc institutionnellement socialiste, nous n'avons électoralement le choix qu’entre diverses variétés de socialisme plus ou moins accentuée.
Jefferson posa un jour une question essentielle : « Parfois, il est dit qu’on ne peut pas faire confiance en l’auto-gouvernement de l’homme par lui-même. Peut-on, alors, lui faire confiance pour le gouvernement des autres ? »
Cette année 2012 marque le centenaire de la naissance de Milton Friedman et le 50e anniversaire de la publication de son livre le plus important : Capitalism and Freedom.
Envisager les aides d’Etat sous l’angle de leur coût d’opportunité est une démarche politiquement incorrecte : elle remet systématiquement en question les raisons qui poussent les pouvoirs publics à consacrer l’argent des impôts à une cause plutôt qu’une autre, voire la notion même d’aides publiques.
Un homme est libre de renoncer aux bénéfices de la qualité de citoyen et d’en rejeter les charges. La première condition à laquelle on doit se conformer avant qu’une puissance législative puisse être établie sans violer la loi d’égale liberté est la reconnaissance du droit d'ignorer l'Etat.
Ceux dont la carrière est construite sur la création et la diffusion d’idées – les intellectuels – ont joué un rôle dans de nombreuses sociétés hors de toute proportion en regard de leur nombre. Que ce rôle ait, dans l’ensemble, donné à ceux autour d’eux une situation meilleure ou pire est une des questions clés de notre époque.
« Nous ne sommes pas animés de cette fausse philanthropie qui, si on l'écoutait, ferait des prisons un séjour agréable (…) les hommes que la société repousse de son sein doivent trouver dans l'emprisonnement tous les châtiments rigoureux qui ne répugnent pas à l'humanité. »