Du principe de propriété
La propriété est à l'ordre économique ce que le soleil est à notre monde. Celui qui se fait d'elle une idée juste et complète ne tarde pas à reconnaître qu'elle est le point central autour duquel gravite tout le reste.
Frédéric Bastiat et le « miracle » du marché libre
Selon Bastiat, le mécanisme social, comme le mécanisme céleste, ou le mécanisme du corps humain, obéit à des lois générales. Autrement dit, il s’agit d’un ensemble déjà harmonieusement organisé. Et le moteur de cette organisation, c’est le marché libre.
Le « libéralisme radical » du 19ème siècle, par Henri Lepage
La critique ‘ultra-libérale’, voire anarcho-capitaliste de l’action étatique est bel et bien ‘made in France’.
« Best of Molinari » pour le centenaire de sa mort : 1912-2012
Molinari l'économiste libéral - Molinari et la liberté politique - Molinari, théoricien de l’évolution historique et culturelle des sociétés
« L’envie », par Helmut Schoeck (3/3)
Le monde ne pourra jamais appartenir aux envieux, pas plus qu’il ne sera possible d’éliminer d’une société tous les motifs d’envie.
Ce que je crois. Par Gustave de Molinari (1861)
Nous nous croirons suffisamment récompensé de nos peines si nous sommes parvenu à recruter quelques prosélytes de plus à la cause à laquelle nous avons voué notre vie, et dont le Credo peut se résumer en ces mots : la Liberté et la Paix.
Six mythes au sujet du libertarianisme. Par Murray Rothbard
Une fois ces mythes réfutés, les lecteurs seront en mesure de discuter du libertarianisme, libres de l’influence des idées fausses ; il sera alors possible de débattre de cette philosophie, d’en évaluer les mérites et les démérites.
« L’envie », par Helmut Schoeck (2/3)
Le monde ne pourra jamais appartenir aux envieux, pas plus qu’il ne sera possible d’éliminer d’une société tous les motifs d’envie.
« L’envie », par Helmut Schoeck (1/3)
Le monde ne pourra jamais appartenir aux envieux, pas plus qu’il ne sera possible d’éliminer d’une société tous les motifs d’envie.
« Une politique d’abondance », par Ludwig Erhard
Faire de l’entrepreneur un esclave et d’un organisme d’exécution, la volonté de la collectivité, revient à tuer toutes les valeurs de la personne humaine et priver l’économie des impulsions les plus valables.
Faut-il avoir peur du libéralisme ? Par Thierry Falissard (2012)
Ce livre offre une vue très synthétique de la pensée libérale dans plusieurs de ses aspects, y compris (et surtout) les plus contestés. L’auteur cherche à illustrer que la préoccupation du libéralisme est avant tout d’ordre éthique, et non seulement économique comme beaucoup le pensent.
Hippolyte Taine. De l’ingérence abusive de l’État (1890)
Selon Jean-François Revel, ces textes, quoique parus en 1884, pourraient être signés de Ludwig von Mises, Friedrich Hayek ou Milton Friedman, tant l’analyse de l’hypertrophie étatique y préfigure les critiques actuelles.
« Les fonctions du gouvernement sont purement négatives » – Benjamin Constant
La force productrice des vertus, ce n’est point la loi, mais la liberté.
Mises et l’école autrichienne : un point de vue personnel. Par Ron Paul
Ma fréquentation de l’école autrichienne d’économie a été d’une valeur incalculable pour moi, mais les témoignages personnels sur la personnalité de Mises l’ont été tout autant. Son objectif était la vérité économique, et non une position académique prestigieuse ou des récompenses superficielles.
La prospérité pour tous, de Ludwig Erhard (préface de Jacques Rueff)
L’ouvrage de Ludwig Erhard fournit aux Français l’occasion de réfléchir à l’avenir qu’ils souhaitent, pour eux et pour leur pays : la prospérité pour tous, dans la vérité de l’ordre financier, ou la misère des plus pauvres et l’insécurité de la nation, dans le mensonge de l’inflation. Jacques Rueff
Le discours d’adieu de Ron Paul en français
Dans un discours de 48 minutes, Ron Paul a résumé les convictions qui ont animé son combat pour la liberté, la paix et la prospérité depuis 1976. Un véritable manifeste pour l'histoire !
E. Allix, J.-B. Say et les origines de l’industrialisme (1910)
La théorie libérale de la lutte de classes a émergé sous une forme policée en France, pendant la période de la Restauration, suite aux travaux de Jean-Baptiste Say et de ses disciples Charles Comte et Charles Dunoyer.
Conférence d’Alain Laurent et de Vincent Valentin le 12 novembre
Qu'est-ce que le libéralisme ? Quelles en sont les origines ? Quels en sont les grandes étapes, les grands composants et leurs penseurs ? C'est autour de ces questions que nous vous proposons de débattre le lundi 12 novembre à 20h
Du conservatisme et du libertarianisme. Par Hans-Hermann Hoppe.
L’état-providence moderne a grandement vidé les propriétaires privés du droit d’exclusion impliqué par le concept de propriété privée. L’égalitarisme, sous toutes ses formes, est incompatible avec l’idée de propriété privée. La propriété privée implique exclusivité, inégalité et différence.
Jean-Baptiste Say : un Français au Panthéon des économistes
Le 14 novembre 1832 disparaissait un des plus célèbres économistes au monde : le français Jean-Baptiste Say. Le 180ème anniversaire de sa mort est l'occasion de revenir sur ce qui a fait sa renommée : la loi des débouchés.