Tous les discours sur les dangers de l’omniprésence de l’État et sur la perte de nos libertés ne servent à rien si l’on ne tient pas compte de l’impact négatif causé par ceux qui sont chargés de gérer la monnaie.
Dans ce séminaire au ton provocateur Frank Karsten expliquera pourquoi les principes et la dynamique de la démocratie conduisent à des résultats négatifs. Pourquoi la démocratie est le nouveau socialisme et pourquoi leurs résultats sont similaires.
In this very provocative talk Frank Karsten will explain why the principles and dynamics of democracy lead to negative results. Why democracy is the new socialism and the results are similar.
Il est temps maintenant de poser les questions subversives que l’État ne sait pas poser, ne veut pas poser : L’État est-il capable d’instruire les enfants ? Peut-on faire confiance à l’État pour instruire les enfants ?
David Boaz nous raconte ici l’histoire de la liberté. De son point de vue, américain et libertarien, nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental clairement libéral mais cette liberté est incomplète. En effet, la subsistance des états tels que nous les connaissons, même avec des pouvoirs limités, n’est pas une garantie totale de liberté et c'est ainsi que la lutte pour la liberté continue d’évoluer et d'être indispensable.
Pour Philippe Simonnot et Charles Le Lien, la crise économique actuelle ne trouve pas son origine dans les excès du marché ou la dérégulation de la finance, mais dans l'interventionnisme extrême d'États irrespectueux de la vraie nature de la monnaie.
Résumé réalisé par M. Azerrad, directeur adjoint du Kenneth Simon Center for American Studies de Heritage Foundation. Inspiré d’un essai de Bruce Caldwell, éditeur de « The Collected Works of F. A. Hayek », dans lequel ce dernier identifie les 10 thèmes clés de la pensée de Hayek.
Comment est-ce possible que les deux parties gagnent d'un échange ? Chacune affecte une valeur différente aux deux marchandises ou services échangés, et ces différences plantent le décor pour une transaction.
Lieu des « états généraux de l’opinion européenne » avec lequel « aucune autre académie n’aurait pu rivaliser » selon Stendhal (Rome, Naples et Florence, 1817), « maison mère du libéralisme » et « lieu où souffle l’esprit libéral européen » pour Albert Thibaudet (Les idées politiques de la France, 1932) et « creuset de l’esprit libéral » si l’on en croit le titre d’un ouvrage récent publié sous la direction de L. Jaume [1] : quelle exceptionnelle institution a donc pu s’attirer et mériter un aussi flatteur concert d’éloges échappant au passage du temps ?
Il est cependant tout aussi vrai qu'un tel État aurait des fonctions nettement limitées et qu'il s'interdirait tout un ensemble d'activités qui, aux États-Unis, sont aujourd'hui celles du gouvernement fédéral et des gouvernements des États fédérés.
David Boaz nous raconte ici l’histoire de la liberté. De son point de vue, américain et libertarien, nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental clairement libéral mais cette liberté est incomplète. En effet, la subsistance des états tels que nous les connaissons, même avec des pouvoirs limités, n’est pas une garantie totale de liberté et c'est ainsi que la lutte pour la liberté continue d’évoluer et d'être indispensable.
Tous les discours sur les dangers de l’omniprésence de l’État et sur la perte de nos libertés ne servent à rien si l’on ne tient pas compte de l'impact négatif causé par ceux qui sont chargés de gérer la monnaie.
"Ce n'est pas pour cela, si l'on veut, que la révolution a été faite; mais elle a été faite avec cela: l'amour des fonctions publiques y a joué son rôle; et ce rôle n'a pas été petit, si l'on en juge par les résultats; car ce qu'elle a produit avec le plus d'abondance, ce sont des fonctions et des fonctionnaires: nous l'avons vue inonder l'Europe de soldats, de commis, de douaniers, de directeurs, de préfets, d'intendants, de gouverneurs, de rois."
Ce qui caractérise le socialisme, c’est que la répartition des biens de consommation doit être indépendante de la production et de ses conditions économiques. Par essence, la propriété collective des biens de production est inconciliable avec le fait de fonder la répartition – même partiellement – sur l’imputation économique du produit à chacun des facteurs de la production.
La société est le résultat de la coopération de centaines de millions de gens, chacun agissant sur la base de sa propre connaissance unique de ses besoins individuels, talents, occupations et circonstances.
Pourquoi la démocratie ne mène pas à la solidarité, à la prospérité et à la liberté, mais aux conflits sociaux, aux dépenses publiques inconsidérées et à la tyrannie. Mythe 1. Chaque vote compte. Mythe 2. Dans une démocratie, le peuple gouverne.