Liste des articles de l’abbé Baudeau dans les Nouvelles éphémérides économiques (1774-1776)

Liste des articles de l’abbé Baudeau dans les Nouvelles éphémérides économiques (1774-1776)

 

Année 1774. Volume non numéroté. [3 décembre 1774] : Sur un discours du comte Scheffer en Suède. — Lettre du fermier des droits de halle et de marché de la ville de *** à son confrère le fermier des mêmes droits à ***. — Questions sur le plan d’imposition soi-disant économique.

Année 1775. Volume 1 [14 janvier 1775] : Lettres et mémoires à un magistrat du Parlement de Paris, sur l’arrêt du 23 Septembre 1774.

Année 1775. Volume 2 [18 février 1775] : Recherches et mémoires historiques sur les finances du Royaume

de France, depuis Louis XII jusqu’à Louis XV inclusivement. — Lettre à M. Grosley, sur l’administration des corvées, par M. G***, architecte, analysée et réfutée par M. l’abbé Baudeau. — Encouragements et facilités procurées à l’agriculture.

Année 1775. Volume 3 [23 mars 1775] : Recherches et mémoires historiques sur les finances du Royaume de France, depuis Louis XII jusqu’à Louis XV inclusivement (suite).

Année 1775. Volume 4 [21 avril 1775] : Introduction à un mémoire sur les impôts. — Le profit du peuple, et le profit du Roi, ou problèmes d’économie politique sur trois gros impôts. — Mémoire détaillé sur les taxes payées ci-devant par le poisson de mer frais ou salé qui se consommait dans la ville de Paris.

Année 1775. Volume 6 [23 juin 1775] : Éclaircissements demandés à M. N**, au nom des propriétaires fonciers et des cultivateurs français. — Sur la popularité des principes économiques en Suède.

Année 1775. Volume 7 [juillet 1775] : Éclaircissements demandés à M. N**, au nom des propriétaires fonciers et des cultivateurs français (suite).

Année 1775. Volume 8 [août 1775] : Éclaircissements demandés à M. N**, au nom des propriétaires fonciers et des cultivateurs français (suite). — Les économies royales de Sully, nouvelle édition

Année 1775. Volume 9 [septembre 1775] : Lettres à M. N., contenant des questions de faits, pour servir d’éclaircissement à son Éloge de Colbert, couronné par l’Académie française en 1774. — Les économies royales de Sully, nouvelle édition (suite). — Société d’émulation, pour l’encouragement des inventions qui tendent à perfectionner la pratique des arts et des métiers utiles.

Année 1775. Volume 10 [octobre 1775] : Les économies royales de Sully, nouvelle édition (suite).

Année 1775. Volume 11 [novembre 1775] : Observations sur les arguments des partisans des privilèges exclusifs en matière de commerce. — Les économies royales de Sully, nouvelle édition (suite).

Année 1775. Volume 12 [décembre 1775] : Les économies royales de Sully, nouvelle édition (suite).

Année 1776. Volume 1 [16 janvier 1776] : Introduction et notes à un mémoire sur l’amélioration de l’agriculture dans les pays montueux. — Prémices de la nouvelle constitution militaire.

Année 1776. Volume 2 [19 février 1776] : Introduction et notes à un mémoire sur l’amélioration de l’agriculture dans les pays montueux (suite). — Mémoire sur la caisse de Poissy.

Année 1776. Volume 3 [21 mars 1776] : Règlements nouveaux sur la confection des chemins publics.

Année 1776. Volume 4 [20 avril 1776] : Observations économistes à M. l’abbé de Condillac. — Régie des cuirs. — Établissement nouveau pour faciliter la vente des effets de peu de volume qui ont déjà servi.

Année 1776. Volume 5 [22 mai 1776] : Observations économistes à M. l’abbé de Condillac (suite).

Année 1776. Volume 6 [22 juin 1776] : Introduction à une consultation pour les fermiers de la caisse de Poissy. — Mémoires sur les affaires extraordinaires de finances faites en France pendant la dernière guerre, depuis 1756 jusqu’en 1763. — Introduction à un acte de justice et de sagesse du Roi.

A propos de l'auteur

Après plusieurs écrits intéressants sur les questions d’administration et d’économie politique, Nicolas Baudeau (1730-1792) a rejoint le groupe physiocratique pour devenir l’un de ses plus zélés interprètes et propagandistes. Si sa ferveur a parfois été jugée maladroite, ses écrits et sa pensée n’en recèlent pas moins d’étonnantes richesses.

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