L’agriculture et l’économie politique, discours prononcé à la Société centrale d’agriculture

En 1875, Louis Wolowski évoque devant la Société centrale d’agriculture de France les lointains accomplissements de l’économie politique sur les questions agricoles. Depuis la fin du XVIIe siècle, rappelle-t-il, les économistes ont défendu la liberté des cultures, l’immunité de la propriété, et l’échange libre des fruits de la terre. Si la condition des populations rurales s’est tant améliorée depuis l’époque de La Bruyère et de Vauban, c’est en grande partie la suite des progrès permis par la liberté du travail et la liberté des échanges.


DISCOURS PRONONCÉ À LA SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE DE LA SOCIÉTÉ CENTRALE D’AGRICULTURE DE FRANCE

TENUE LE DIMANCHE 27 JUIN 1875

PAR

M. WOLOWSKI,
DÉPUTÉ DU DÉPARTEMENT DE LA SEINE,
PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ.

PARIS
IMPRIMERIE ET LIBRAIRIE D’AGRICULTURE ET D’HORTICULTURE
DE Mme Ve BOUCHARD-HUZARD,
5, RUE DE L’ÉPERON,

1875


SOCIÉTÉ CENTRALE D’AGRICULTURE DE FRANCE.

SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE

TENUE LE DIMANCHE 27 JUIN 1875.

DISCOURS DE M. WOLOWSKI,

DÉPUTÉ DE LA SEINE, PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ.

Messieurs et chers confrères,

Quand je me vois en présence de tant d’hommes éminents dont j’ai l’honneur d’être ici le confrère, je ne puis prendre la parole, en qualité de président, sans quelque inquiétude. En effet, beaucoup d’autres auraient plus dignement occupé ce fauteuil, où je succède à un savant illustre, que je ne saurais aspirer à remplacer.

Permettez-moi de penser qu’en m’appelant à une dignité dont je comprends tout le prix vous avez voulu affirmer par votre choix l’alliance désormais indissoluble de l’agriculture et de l’économie politique.

Cette alliance s’est traduite d’abord par les lois de notre grande Révolution qui ont affermi le droit de propriété, et qui ont préparé le terrain solide, destiné à profiter d’un travail rendu plus productif par le développement de l’instruction agricole. Le commerce libre est enfin venu couronner l’œuvre en facilitant l’échange des produits multipliés.

De fâcheux malentendus sont effacés : loin de redouter l’application de la liberté des relations commerciales, l’agriculture française sait qu’elle y a puisé une force nouvelle, comme elle a dû ses progrès les plus féconds à la liberté du travail. La terre libre a largement fructifié, grâce au labeur dévoué de l’homme affranchi, du moment où la loi du 28 septembre 1791 a définitivement consacré, en les complétant, les dispositions des édits de Louis XVI et de Turgot. 

L’art. 1er donne la véritable formule de la renaissance de l’agriculture :

« Le territoire de la France, dans toute son étendue, est libre comme les personnes qui l’habitent. Ainsi toute propriété territoriale ne peut être sujette qu’aux usages établis et reconnus par la loi, et aux sacrifices que peut exiger le bien général sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »

Et l’art. 2 ajoute :

« Les propriétaires sont libres de varier à leur gré la culture et l’exploitation de leurs terres, de conserver à leur gré les récoltes et de disposer de toutes les productions de leurs propriétés, dans l’intérieur du royaume et au dehors, sans préjudicier au droit d’autrui et en se conformant aux lois. »

Ces prescriptions semblent si naturelles, que beaucoup seraient tentés de demander si l’on avait besoin d’un texte législatif pour les proclamer. C’est que l’esprit nouveau qui les pénètre est devenu comme l’air que nous respirons.

Cependant il n’est pas une de ces lignes qui n’ait eu pour but et pour résultat la destruction d’anciens abus, la suppression d’anciennes entraves, et l’affermissement du droit sacré de la propriété, base première de la prospérité agricole. Il n’est pas une de ces lignes qui ne réalise ce qu’on a longtemps appelé les rêves des économistes.

Ce sont, en effet, les économistes qui ont hardiment attaqué un régime où on ne rencontrait pour l’agriculture qu’oppression et misère. Ce sont eux qui, renouvelant les fortes maximes de Sully, ont vu dans le labourage et le pâturage les deux mamelles dont l’État est alimenté. Quesnay et Turgot ont réagi contre le système industriel de Colbert ; loin de voir, dans les mesures destinées à gêner et empêcher le libre commerce des grains, la source de la prospérité publique, ils ont prouvé que les mesures artificielles destinées à déprécier et avilir le prix du blé entraînaient la ruine commune, en desséchant les richesses du sol et en réduisant le paysan à la détresse. « Pauvres paysans, pauvre royaume ; pauvre royaume, pauvre souverain. » Ces mots, que le penseur de l’entresol de Versailles faisait imprimer de la main royale de Louis XV, étaient les précurseurs d’une féconde révolution agricole. Pour atteindre le but, que demandaient les physiocrates ? L’inviolabilité des propriétés et la liberté des échanges.

Sans doute, les économistes ont toujours visé à procurer aux hommes une satisfaction plus complète de leurs besoins ; en les dégageant de plus en plus des soucis et de la servitude des besoins matériels, ils aspiraient à élever l’âme, à développer l’intelligence.

C’est en multipliant les produits que l’on rend moins insuffisante la part faite à chacun ; pour conquérir la légitime récompense du travail, il faut accroître la puissance de celui-ci, en lui donnant un inébranlable appui dans le droit de propriété.

Dieu merci, nous ne sommes plus aux temps où l’on niait, où l’on attaquait ce principe tutélaire. On sait, grâce surtout aux enseignements des économistes, que le droit de propriété n’enlève rien à personne, qu’il est la source du bénéfice de tous. Le sophisme a voulu combattre l’exercice de ce droit au nom de ceux qu’il nommait les déshérités. Un des esprits le plus libéraux, un des défenseurs les plus dévoués du sort de ceux qui travaillent, John Stuart Mill, a suffisamment répondu à cette excitation des passions mauvaises et aux vues étroites, dictées par l’égoïsme qui a la vue courte :

« Ceux qui ne sont pas propriétaires n’ont-ils rien reçu des générations précédentes ? Est-ce que la différence qui existe entre la terre, telle qu’elle était lorsque le premier homme l’a abordée et la terre d’aujourd’hui, avec ses défrichements et ses améliorations, ses routes et ses canaux, ses villes et ses manufactures, n’a profité qu’aux propriétaires du sol ? Est-ce que les capitaux accumulés par le travail et par l’abstinence des générations précédentes n’ont servi qu’à ceux qui ont succédé à la propriété légale d’une partie de ces capitaux ? N’avons-nous pas hérité d’une masse de science acquise, en théorie et en expérience, par l’intelligence et par le travail de ceux qui nous ont précédés, science dont les avantages sont une richesse commune à tous ? Ceux qui sont nés propriétaires ont eu, outre l’héritage commun, un héritage particulier. Mais l’héritage commun en a profité. »

L’homme s’approprie la terre, en discernant les forces qu’elle recèle en son sein et en les utilisant. C’est lui qui fait succéder à l’exubérance destructive de la nature sauvage les riches éléments de la production civilisée. Il approprie les conquêtes, ainsi obtenues, à ses propres besoins qui sont la source de la valeur des choses.

Pour accomplir le grand but du travail, qui est de dominer les forces inintelligentes, il faut découvrir les lois simples, les lois éternelles qui dérivent de la nature des choses.

L’homme, le capital, la terre, sont les trois éléments de la richesse ; comme l’a dit un économiste français trop peu connu, Senac de Meilhan, « tout est par l’homme, et tout est pour l’homme. » C’est lui qui, par la prévoyance, relie le présent à l’avenir, et qui prépare la réserve des instruments qu’il s’adjoint comme d’énergiques auxiliaires. C’est lui qui, en pénétrant le secret des forces naturelles, les dirige et les fait servir à ses desseins. Ainsi que l’a dit Flourens : c’est d’une part en utilisant, et d’autre part en neutralisant les influences de la nature que l’homme arrive à produire sans cesse un plus grand résultat avec un moindre effort, et à élargir le domaine de la véritable richesse, qui consiste dans la multiplication des biens dont tous les hommes peuvent tirer parti.

« Après avoir distingué les êtres animés et les plantes qui lui sont nécessaires, l’homme les prend sous sa tutelle, afin de leur assurer la possession de la terre. »

L’homme élimine les espèces nuisibles ; il propage et il modifie les espèces utiles. Pour les développer, il combat les contrariétés de la nature, il dispose le sol pour aider à la croissance des racines, et il détruit les végétaux parasites qui risqueraient de les atteindre. Il en agit de même vis-à-vis des animaux qu’il retire du régime sévère de la nature pour leur donner une hospitalité intéressée.

Ces récoltes, qu’il prépare et qu’il emménage, ces bestiaux qu’il multiplie et qu’il améliore, ce sont les premiers éléments du bien-être et de la liberté.

Dieu a créé la plupart des animaux pour se manger les uns les autres, et l’homme pour les manger tous, après les avoir mieux disposés pour correspondre à ses goûts et aux besoins de son existence.

L’agriculture condamne chaque jour d’une manière éclatante le paradoxe de Rousseau ; quand la terre est à tous, il n’y a de fruits pour personne, et si Dieu n’a pas tracé de limites aux champs, il n’y a pas non plus placé la charrue, premier instrument de l’affranchissement matériel et intellectuel de l’homme.

Aussi, la force de la vérité arrache-t-elle à Rousseau lui-même cet aveu involontaire : « Celui qui le premier a tracé des limites aux champs, qui, le premier, a dit : ceci est à moi, a été le véritable fondateur de la société civile. »

L’éloquence passionnée de Rousseau a vainement essayé de sacrifier la civilisation aux prétendus attraits de la vie sauvage, et le bon sens implacable de Voltaire a constaté que l’humanité ne s’est pas résignée à marcher à quatre pattes, ni à retourner dans les bois.

Mais l’homme n’est arrivé à substituer les splendeurs de la civilisation aux misères de la vie sauvage qu’en faisant la conquête successive du monde extérieur par la puissance croissante de son monde intérieur, de l’intelligence, dont seul, de toutes les créatures animées, il a retenu le privilège. C’est l’esprit, cette étincelle échappée du flambeau divin, qui continue l’œuvre de la création.

Savoir, c’est pouvoir, dit notre vieux proverbe, d’accord avec le dicton anglais : Knowledge is power. C’est par la science que l’homme domine la nature ; l’application de la science à l’industrie a renouvelé la face de la production ; elle n’est pas moins nécessaire ni moins féconde dans l’agriculture que dans les arts.

Les vérités générales que nous venons d’énoncer rencontrent dans les faits une éclatante affirmation.

La noble mission que s’est donnée la Société centrale d’agriculture est d’amener l’union de plus en plus intime de la culture du sol à la culture intellectuelle.

Nulle part le champ de l’étude n’est plus vaste, car il s’agit autant de rectifier que d’apprendre.

L’instruction agricole est appelée à rendre le plus grand service au développement de la prospérité agricole. Nos honorables collègues, M. le comte de Bouillé et M. le marquis de Dampierre, l’un en proposant à l’Assemblée nationale, l’autre en justifiant dans un rapport remarquable la création d’une école supérieure d’agriculture, ont utilement essayé de faire sortir le pays d’un triste état d’infériorité. On leur devra le rétablissement d’une institution féconde, que la République de 1848 avait fondée, et que le gouvernement de l’Empire a eu le tort de supprimer.

L’Institut de Versailles promettait de faire progresser l’application des sciences à l’industrie agricole.

« Élever, élever encore, élever toujours le niveau de la science qui s’applique à augmenter la production, doit être la pensée constante d’un gouvernement prévoyant. »

Nous reproduisons avec plaisir ces lignes écrites par notre honorable confrère et collègue M. le marquis de Dampierre, et nous ajouterons que c’est un devoir de premier ordre, quand il s’agit de l’industrie fondamentale du pays, de cette industrie qui occupe vingt millions d’habitants et qui les nourrit tous.

Déjà, en 1869, M. Tisserand avait tracé d’une main ferme et habile le programme de cet enseignement, et il en avait démontré l’influence.

L’agriculture est peut-être celle des industries qui nécessite le plus le concours de la science, sous toutes les faces ; notre éminent confrère, M. Dumas, disait dans l’Enquête agricole : « Un enseignement supérieur est nécessaire pour préciser la science dans ses applications à la pratique, pour donner à cette science technique, trop générale dans l’enseignement de la science proprement dite, cette forme arrêtée, cette précision indispensable pour l’application », et son illustre émule, M. Boussingault, ajoutait : « Le progrès agricole est dû surtout à la science, et le progrès se propage de haut en bas jusqu’aux dernières limites, car la science ne remonte jamais. Elle part d’en haut et tend à s’infiltrer jusque dans les couches les plus basses de la société. »

Elle accroît les forces productives et elle triomphe des forces destructives de la nature. Sans sortir de cette enceinte, combien ne rencontrons-nous pas de noms illustres qui témoignent de ce que la science a déjà obtenu de succès glorieux sous ce double rapport ; on peut à juste titre s’enorgueillir d’être le confrère de Chevreul, de Dumas, de Becquerel, de Boussingault, de Pasteur, de Peligot, de Brongniart, pour ne citer que ceux qui se présentent les premiers sous ma plume.

Quand on mesure les résultats de ces conquêtes intellectuelles, l’admiration le dispute à la reconnaissance pour tant d’efforts féconds.

Il faut lire dans le rapport de M. de Dampierre l’intéressant récit historique de la marche de l’enseignement agricole, le tableau instructif des progrès accomplis de ce côté en Angleterre, en Allemagne, dans les grands comme dans les petits États, en Autriche, en Belgique, etc., pour se convaincre que nous ne saurions rester inactifs, car, de notre temps, qui n’avance pas recule.

La transformation des méthodes agricoles, due aux découvertes de la science, et servie par la liberté du travail et par la liberté des relations, a déjà transformé à un haut degré la situation des campagnes. La famine, qui ravageait de vastes contrées, il y a quelques siècles à peine, a disparu, et les effets funestes des disettes se sont en grande partie effacés. À la place du sinistre tableau tracé par La Bruyère et par Vauban, nous voyons partout la condition améliorée des populations rurales. Beaucoup a déjà été obtenu, beaucoup sera obtenu encore, grâce à l’émancipation de l’homme et à l’émancipation du sol.

« Tant vaut l’homme, tant vaut la terre » ; à mesure que l’intelligence humaine se développe, la terre produit davantage. C’est à nos chimistes, à nos mécaniciens, à nos géologues, à nos physiciens, à nos agronomes, aux maîtres qui ont fait progresser l’économie des animaux et l’économie forestière, que la France doit les résultats abondants dont elle profite pour l’amélioration matérielle et pour le progrès moral de ses habitants.

Permettez-moi d’ajouter que les principes d’équité proclamés par notre législation, et que les enseignements de l’économie politique et de la statistique ne sont pas étrangers à ces merveilles.

L’homme isolé est faible ; il en est de même des nations, et, dans son magnifique langage, Sully nous apprend les conséquences du progrès commercial :

« Sire, disait-il à Henri IV, Votre Majesté doit mettre en considération qu’autant il y a de divers climats, régions et contrées, autant semble-t-il que Dieu les ait voulu diversement faire abonder en certaines propriétés, commodités, denrées, matières, arts et métiers spéciaux et particuliers, qui ne sont point communs ou pour le moins de telle bonté aux autres lieux, afin que par le trafic et commerce de ces choses, dont les uns ont abondance et les autres disette, la fréquentation, conservation et société humaine soient entretenues entre les nations, tant éloignées puissent-elles être les unes des autres. »

Jamais langage plus beau n’a mieux réussi à rattacher la liberté des échanges à l’harmonie des desseins de la Providence divine !

Si nous descendons de ces hauteurs pour traduire dans le froid langage des chiffres les conséquences de l’application des doctrines de Quesnay et de Turgot, nous voyons que l’ensemble des exportations et des importations, au commerce spécial de la France, qui n’atteignait pas 700 millions à la chute du premier Empire et qui était de 920 millions en 1825-1826, s’est successivement élevé à 1 milliard pour la période décennale de 1827-1836, à 1 489 millions pour celle de 1837-1846, à 2 301 millions pour celle de 1847-1856, et à 4 630 millions pour celle de 1857-1866. 

Voici les chiffres obtenus depuis :

1867 5 851
1868 6 092
1869 6 223
1870 5 669
1871 6 438
1872 7 331
1873 7 341
1874 7 625 millions

L’année 1875 s’annonce encore sous de meilleurs auspices ; les cinq premiers mois ont donné un excédent de 200 millions pour les exportations alors que les importations n’ont diminué que d’une dizaine de millions. Déjà l’ensemble de notre commerce spécial de 1875 s’élève à trois milliards, de janvier à mai ; l’importation des métaux précieux a été pour la même période de 446 millions, contre une exportation de 80 millions ; par conséquent, l’importation présente un excédent de 368 millions d’or et d’argent. Si, comme tout le fait espérer, ce mouvement continue, nous dépasserons, pour le total du commerce spécial de la France, le chiffre colossal de 8 milliards !

On le voit, le travail intelligent et dévoué répare les immenses désastres que nous avons subis. Les résultats obtenus par les progrès agricoles et industriels ont contribué à la libération de la France, comme les réserves antérieures placées en fonds étrangers ont permis l’immense opération qui nous a fait, sinon effacer le poids de la contribution de guerre, du moins transformer, au moyen d’un vaste arbitrage, une dette écrasante et immédiatement exigible, en une dette consolidée, dont la production nationale pourra couvrir les arrérages. Les impôts sont nombreux et lourds, on les a votés et on les acquitte avec une résignation patriotique, mais pour donner un nouvel essor au pays il faut qu’un labeur incessant multiplie les produits.

L’agriculture ne faillira pas à cette tâche ; son concours vient aider puissamment l’habileté industrielle de la France. Ce sont les principaux produits naturels et les objets d’alimentation qui tiennent le premier rang dans les accroissements d’exportation des cinq premiers mois de 1875. — L’instruction agricole plus largement répandue fera grandir le résultat.

L’affermissement de nos institutions, la pratique des principes qui fortifient le respect du droit de propriété et l’influence féconde de la liberté répareront successivement les conséquences cruelles de nos revers ; le commerce libre contribuera à relever la situation de l’agriculture, base la plus solide de la richesse publique.

A propos de l'auteur

Né à Varsovie en 1810, naturalisé français en 1834, Louis Wolowski a fondé et dirigé une Revue de Législation et de Jurisprudence avant d'entrer à l'Académie des sciences morales et politiques. Ses études se sont par la suite portés particulièrement sur la question de la monnaie et des banques, dont il fut un spécialiste reconnu et souvent cité.

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