Après avoir perdu coup sur coup G. de Molinari et F. Passy, morts en 1912, l’école libérale française aborde la Première Guerre mondiale très affaiblie. Pierre-Leroy Beaulieu, fils de Paul Leroy-Beaulieu, petit-fils de Michel Chevalier, est alors l’un de ceux en qui le camp libéral place ses espérances : il meurt sur le champ de bataille en janvier 1915.
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