Suite et fin de l’entretien entre Grégoire Canlorbe et Serge Schweitzer.
III. La défense morale de la liberté
15) Il est courant d’évaluer les vices et mérites de la liberté à l’égard du « bien commun », de « l’intérêt général » ou du « bonheur du plus grand nombre ». Dans un article récent, vous fustigez le concept même de l’intérêt général. Pourriez-vous revenir à ce sujet ?
Qu’est-ce qui justifie de prendre parti pour la liberté, sur le plan moral, si ce n’est pas au nom de l’intérêt général ?
La question est l’une des plus complexes des sciences humaines. A l’appui de l’idée que « l’intérêt général » existe, on peut avancer deux arguments. D’une part, la violence consubstantielle à la nature de l’être humain nous impose de séparer les antagonistes par un arbitre neutre. Je n’apprends rien à vos lecteurs, c’est le fameux « homo homini lupus » de Hobbes.
Mais un autre argument peut s’avancer. Un élément circonstanciel s’ajoute à l’élément structurel : c’est que si, en l’état de nature, l’abondance régnait, chacun aurait tout dans les quantités et qualités désirées. Cela émousserait la violence des violents. Mais tel n’est pas le cas, puisqu’il y a rareté. Ce qui explique que nous pouvons nous disputer pour un bien rare ou envahir le territoire de l’autre.
A ces premiers arguments en faveur de l’intérêt général, de nature philosophico-politique, on peut adjoindre un argument des économistes. Cet argument est très connu. Quand le marché fonctionne de lui-même, il peut provoquer des défaillances, i.e. des effets simultanément inattendus et non souhaitables. Ce sont les fameuses externalités chez Pigou. Pour rétablir un état de bien-être, il faut taxer ou réglementer ou interdire ou dire que l’un a raison et l’autre a tort.
Ces deux arguments sont puissants et ce sont les seuls qui dès le cursus scolaire nous sont sans cesse répétés pour justifier l’intérêt général au-dessus des intérêts particuliers. Qui peut représenter l’intérêt général, sinon l’Etat ? « Circulez, il n’y a rien à voir ! » Et pourtant, ces deux arguments sont très loin d’être irréfutables.
On nous dit que nous avons passé un contrat social dans lequel nous abandonnons une partie de nos libertés pour permettre à un arbitre supérieur de trancher. Le problème c’est que ni vous ni moi n’avons jamais signé explicitement ou implicitement ce fameux contrat, si souvent répété que la vertu espérée de cette répétition est de nous éviter absolument de jamais réfléchir à cette question. Pourquoi ? En imaginant même l’idée absurde d’un contrat social signé dans le passé, serais-je engagé, moi, individu du XXIème siècle ? En naissant, nous transférerions et abandonnerions quelque chose aux hommes de l’Etat ? Jusqu’à éventuellement notre vie ?
Ce point n’est pas rhétorique. Au sortir du XXème siècle, dois-je mourir pour la patrie ? Est-ce le sort le plus beau ? Mais la France est au-dessus de nous… Fadaises ! L’argument du nationalisme est la justification trouvée par les hommes de l’Etat pour justifier les guerres qu’ils provoquent et les lignes fantomatiques qu’on nomme « frontières ». Les serial-killers jouent vraiment petit bras ! Parlez-moi, s’il vous plaît, d’Alexandre le Grand, de Robespierre, de Napoléon, de Joseph Staline, d’Adolf Hitler, de Mussolini, de Pol-Pot ! ça, ce sont des tueurs en série ! Le seul problème c’est que tous et les autres, au-delà d’idées différentes, ont tous, de l’Antiquité à nos jours, un point commun : ils sont tous des hommes de l’Etat.
Très bien, mais quid de l’argument de Pigou sur les défaillances du marché ? Les économistes le savent : Ronald Coase a résolu brillamment la question en démontrant que le contrat entre deux personnes, pourvu que les droits de propriété soient correctement définis, fait toujours émerger la solution qui maximise l’utilité.
Peut-on faire remarquer encore deux choses ? D’une part, quand l’Etat intervient pour rétablir une situation qu’il espère supérieure en termes de bien-être, il y a dans tous les cas un gagnant et un perdant. Soit c’est le pollueur, soit c’est le pollué, au nom par exemple des 3 000 emplois de cette usine. Dans la solution de Coase, les deux parties signant un contrat, sans qu’il n’y ait eu aucune violence, les deux parties sont gagnantes, sinon elles n’auraient pas signé. Mais en outre, peut-on aussi attirer l’attention sur le fait suivant : même s’il y met la meilleure volonté, et pense agir au nom de l’intérêt général, le bureaucrate exprime toujours une préférence qui est sa préférence. Ce n’est pas un procès d’intention mais en donnant raison, par exemple, à l’usine qui pollue, au nom de l’emploi, ou à la société de pêche, qui subit en aval la pollution, au nom de la préférence pour l’écologie au détriment de l’emploi, le bureaucrate n’exprime pas l’intérêt général mais sa préférence.
Mais dira-t-on encore, l’intérêt général est évident ! Mais alors, comment se fait-il qu’avec une bonne foi totale, et l’usine et la société de pêche estiment que nettement, elles représentent l’intérêt général, soit parce qu’il faudrait sauver les emplois, soit parce qu’il serait mieux de sauver des poissons ?
Et nous voilà rendu au dernier argument. Admettons que l’intérêt général existe, comment le faire apparaître et surgir ? Le paradoxe de Condorcet et le théorème d’impossibilité d’Arrow démontrent, sans aucune réfutation possible, l’impossibilité, en agrégeant les utilités individuelles, de faire surgir, sans contestation, l’intérêt général. Alors comment s’y prennent les hommes de l’Etat pour définir l’intérêt général ? C’est la théorie du public choice qui y répond : dans une rationalité parfaite, les entrepreneurs politiques prennent toutes leurs décisions en fonction d’une part du nombre de voix espérées et d’autre part des mécontents de cette mesure, i.e. des voix potentiellement perdues. Je ne dis nullement que les entrepreneurs politiques sont des monstres. Comme vous, comme moi, et comme chacun de nos lecteurs, ce sont des individus capables d’évaluer, d’imaginer demain et de prendre les décisions qui maximisent leur utilité, en fonction de leur souhait. Et le souhait de l’entrepreneur politique c’est évidemment d’être élu ou d’être réélu.
Il se déduit de tout ce qui précède que donc la liberté ne peut se justifier au nom de l’intérêt général puisque ce concept est une création totalement hors sol et artificielle. Ma liberté se défend pour elle même car si je ne suis pas libre de mes actes comment distinguer entre les bonnes actions et les mauvaises, les bonnes décisions et les mauvaises, les bons comportements et les mauvais, les vertus et les vices. La liberté est consubstantielle à la nature dont l’être humain a été doté. Donc de même que j’ai le droit et le devoir de défendre ma vie, j’ai donc le droit et le devoir de défendre ma liberté.
16) De nos jours, il n’est pas rare d’entendre dire que la philosophie libérale ou tout du moins la société libérale, i.e. où le droit en vigueur est conforme aux exigences de la philosophie libérale, serait intrinsèquement matérialiste. Ce point de vue était déjà celui de Tocqueville, qui estimait que la société libre (la « démocratie » dans le langage de Tocqueville) était, de par sa nature, propice aux mœurs matérialistes ; et Tocqueville, à l’instar de nombreux contempteurs, de nos jours, de la société libérale, voyait en ces mœurs matérialistes un vice de l’âme humaine, susceptible de faire perdre aux individus le goût de l’association et in fine le sentiment de vivre en communauté.
Je cite Tocqueville : « Ce goût particulier que les hommes des siècles démocratiques (i.e. caractérisés par l’égale liberté des individus) conçoivent pour les jouissances matérielles n’est point naturellement opposé à l’ordre ; au contraire, il a souvent besoin de l’ordre pour se satisfaire. Il n’est pas non plus ennemi de la régularité des mœurs ; car les bonnes mœurs sont utiles à la tranquillité publique et favorisent l’industrie. Ce que je reproche à l’égalité, ce n’est pas d’entraîner les hommes à la poursuite des jouissances défendues; c’est de les absorber entièrement dans la recherche des jouissances permises. Ainsi, il pourrait bien s’établir dans le monde une sorte de matérialisme honnête qui ne corromprait pas les âmes, mais qui les amollirait et finirait par détendre sans bruit tous leurs ressorts. » De la Démocratie en Amérique, Tome II, deuxième partie, chapitre 11.
Selon Tocqueville, ce « matérialisme honnête » amoindrit le lien social, en ce sens que les individus perdent le goût de s’associer aussi bien dans « la vie ordinaire » que dans la vie politique: on constate le déclin non seulement de l’association politique (au sein des partis) mais de l’association dans la vie de tous les jours. L’individu se replie sur sa famille et sur ses amis. En termes contemporains, le matérialisme est intrinsèque à la société libérale et l’atomisation de la société est la conséquence naturelle du matérialisme et partant un trait constitutif de la société libérale. Que penser, selon vous, de cette analyse développée par Tocqueville ? Est-ce un reproche valable à l’endroit de la société libérale ?
Rien n’est plus faux que ce propos, même si Tocqueville est un génie, ce qui, bien-sûr, n’est pas, ô combien, mon cas. Tocqueville a tort sur les deux dimensions. D’une part, on ne peut commencer à se cultiver, à discuter de la hiérarchie entre Baudelaire et Verlaine, Gauguin et Van Gogh, Mozart et Händel, Rodin et Carpeaux, lorsque ventre affamé n’a plus famine. En résolvant majestueusement la question qui obsédait Malthus et bien d’autres, i.e. le rapport entre les subsistances et la population, en faisant en sorte que désormais les biens et services augmentent beaucoup plus vite que la population, le capitalisme, au XIXème siècle, pour la première fois dans l’Histoire de l’humanité, a écarté définitivement dans les pays à économie de marché l’ajustement qui se faisait entre les subsistances et la population par les grandes famines. Ce qui se produit est tout le contraire de ce que Tocqueville dit. C’est une erreur de clamer que jamais le matérialisme n’a été aussi prégnant. C’est tout le contraire, la place prise par l’éducation, la culture, la santé, le tourisme, les loisirs, est plus importante de nos jours qu’à toute autre époque de l’humanité. Quand il fallait lutter jour et nuit pour ne pas mourir, seuls les privilégiés pouvaient s’adonner aux plaisirs de l’esprit et de l’esthétique. Le capitalisme a affranchi même les plus pauvres du risque d’une famine mortelle. Il a permis aux plus humbles d’avoir du temps libre pour aller aux expositions ou pour pratiquer l’introspection. Au XIXème siècle, croyez-vous que le soir, en rentrant de la mine, on se détendait en regardant « Secrets d’Histoire » ou que abruti de fatigue, on dormait pour le lendemain reprendre une journée harassante ?
Le pays qui soi-disant serait le temple du matérialisme, ce sont évidemment les Etats-Unis. Les Etats-Unis, que connaissait si bien Tocqueville. Mais alors, comment expliquez-vous que le taux de la pratique religieuse régulière soit le plus élevé du monde, au-dessus même de l’Inde ? La richesse ne tue pas l’aspiration à une vie spirituelle. Elle permet au contraire de s’y consacrer pour ceux qui le veulent.
Quant au repliement de l’individu sur lui-même, je conteste totalement cette assertion à la mode. Mon interprétation de la percée d’internet et des réseaux sociaux est au contraire que, au-delà évidemment des débordements individuels, l’intensité de nos connections et de nos relations s’amplifie comme jamais. Je vais vous prendre un véritable exemple. Avant internet, quelle chance avais-je d’être en relation avec un Afghan admirateur de l’œuvre de Hayek ? Intellectuellement, je pouvais m’imaginer cette hypothèse, mais concrètement, comment savoir où est cet individu et comment correspondre avec lui ? En me portant sur la toile, il se signale, se met en accordance avec moi et nous dialoguons. L’un des plus vieux et des plus terribles déterminismes depuis le début des hommes, celui d’être né quelque part, est en voie d’être vaincu et contourné. Quant à ceux qui qualifient de sottise ce qui se dit entre copains et copines sur Facebook, je les laisse à l’idée qu’il y aurait des échanges hautement sophistiqués, les leurs, et les fadaises d’adolescents. Entre Aragon et Eluard, écrivant stricto sensu leur vénération pour Staline, et Jean-Paul Sartre, son admiration pour les terroristes, je préfère de beaucoup les légèretés échangées sur Facebook, qui elles n’ont jamais tué personne. Les idées fausses tuent. Mein Kampf a tué 55 millions d’êtres humains. Le Livre noir du Communisme nous apprend qu’au nom des idées en question, 100 millions d’êtres humains sont morts. Discuter de « Amour, Gloire et Beauté » ou des « Feux de l’Amour » n’a jamais tué personne. J’ajoute que lorsqu’on a écrit les choses qu’un Serge July a pu écrire dans son ouvrage Vers la Guerre civile, ou Jean-François Kahn, dans son ouvrage commandité à la gloire de Ceausescu, on ferait bien, pour ces donneurs de leçon, d’y réfléchir à deux fois avant de juger que tout fout le camp parce que sur les réseaux sociaux, les échanges ne sont pas toujours au niveau d’Aristote ou de Saint Thomas.
Ces propos que vous citez et qui se veulent polémiques traduisent seulement le mépris que de pseudo-élites, auto-proclamées, portent sur leur temps. Pour évoquer quelques uns des grands penseurs contemporains, vous ne trouverez pas une ligne d’un Raymond Boudon ou d’un Raymond Aron, pour déplorer les propos de ce que Robespierre inspiré par Voltaire lui-même stricto sensu appelait « la populace ». Il ne viendrait pas l’idée à un libéral de penser que les gens moins dotés font partie de « la populace ».
Seul quelqu’un de gauche peut écrire dans « Le Monde », suite à l’épisode DSK – Sofitel : « Mais est-ce si grave de trousser une domestique ? » La raison la plus profonde de mon libéralisme, c’est que donnant la liberté à tous, elle récompense les talents issus non de la naissance mais du travail et du courage. Le libéralisme c’est la chance des pauvres. Le socialisme c’est que rien ne bouge jamais. Du reste, vos lecteurs doivent savoir que, au XIXème siècle, personne ne s’y trompait, puisque les libéraux étaient taxés de « progressistes », voulant remettre en cause, par la concurrence, les situations acquises, alors que les socialistes étaient tenus et regardés comme des conservateurs. En se laissant voler les progrès au XXème siècle, les libéraux ont creusé leur tombe provisoire, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes, au lieu de passer leur temps à imaginer des complots fantomatiques contre eux.
17) Cher Monsieur, notre entretien touche à sa fin. Aimeriez-vous ajouter quelques mots ?
Je voudrais, mais c’est sans doute un autre entretien, vous dire que l’espérance qui se lève avec ces cohortes massives de jeunes libéraux sur les campus, montre que les fruits tiendront la promesse des fleurs ; et somme toute, la seule et unique chose que quelques uns d’entre nous pouvons revendiquer, est d’avoir entretenu une petite flamme qui a pu donner non pas un renouveau du libéralisme mais une véritable résurrection qui sera un jour un tsunami. Car après le siècle de l’Etat, le XXème, le siècle qui vient sera peut-être celui du retour de la liberté.
L’un de nos maîtres les plus éminents, Pascal Salin, à la fin de l’interview que vous lui avez consacrée, dit qu’il a rarement l’occasion de s’exprimer dans une interview aussi riche. Permettez-moi, cher Monsieur, dans le sillage de Pascal Salin, de dire la même chose.
Bibliographie sélective :
* Par Serge Schweitzer, « Du mécanicisme à l’émergence de l’humain dans la vie contemporaine de la firme », in Éthique en entreprise, Aix-en-Provence, Librairie de l’Université d’Aix-en-Provence, 2000
* Par Serge Schweitzer, « Le concept de mondialisation dans l’histoire de la pensée économique » in Europe et mondialisation, actes du colloque de la Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille et de la Faculté de droit de l’Université de Tübingen, Aix en Provence, 21 & 22 octobre 2004, p. 17 et s.
* Par Serge Schweitzer : « L’impôt-est-il un vol ? » dans Éthique et fiscalité, actes de colloque, presses universitaires d’Aix-Marseille, juin 2011.
* Par Serge Schweitzer : « Le syndicaliste est-il un entrepreneur ? » in Les Forces syndicales françaises, PUF, 2011.
* Par Serge Schweitzer : « Souveraineté et droit de sécession » dans La Souveraineté dans tous ses états, actes du colloque organisé par le Centre de recherches Hannah Arendt de l’ICES, CUJAS, 2011.
* Par Serge Schweitzer : Notices « capitalisme », « keynésianisme », « libertarien », «main invisible », « théorie des choix publics » dans le Dictionnaire de la politique et de l’administration, PUF, 2011
* Par Serge Schweitzer : « Fécondité de l’égoïsme et richesse économique » dans Éthique et économie de marché, actes du colloque organisé par le Centre d’éthique économique, presses universitaires d’Aix-Marseille, juin 2012.
* Par Serge Schweitzer : « L’université à refaire ou pourquoi des professeurs ? » in Mélanges en l’honneur de François Bouletreau. Liber amicorum. Presses de l’I.C.E.S. Juillet 2013.
* Par Serge Schweitzer : « La droite Française est-elle libérale ? » In Libres Editions Roguet Toulouse. 2ème trimestre 2013.
* Par Serge Schweitzer : « Entre capitalisme et mutuellisme, Godin et le familistère ». Colloque International. PUAM, Juin 2013.
* Par Serge Schweitzer : « Un chemin dissident : l’intérêt général ou l’invention d’un faux concept », in Les métamorphoses de l’intérêt général, colloque international des 19 & 20 avril 2011, Centre de Recherches Hannah Arendt, CUJAS, 2012.
* Par Serge Schweitzer : Préface de l’ouvrage de Christian Lions-Patacchini, J.B André Godin et le familistère de Guise, PUAM, 2013
* Par Serge Schweitzer : « Le stress au travail : un point de vue dissident sous l’angle de l’analyse économique. Le stress au travail faux concept et mode passagère » in ouvrage collectif PUAM, 2014
* Par Serge Schweitzer et Loïc Floury : « Théorie de la révolte fiscale – Enjeux et interprétation – Ou pourquoi la révolte fiscale n’aura pas lieu », Presses Universitaires d’Aix-Marseille, 2014
* Par Serge Schweitzer et Loïc Floury : Selected papers en l’honneur de Pascal Salin, Presses Universitaires de l’ICES, 04/2014
* Par Serge Schweitzer : « La politique, instrument des intérêts particuliers », in Ethique et Politique, actes du colloque des 20 et 21 juin 2013, PUAM, 2014
* Par Serge Schweitzer : « La révolte fiscale, quelles probabilités ? », in Libres, tome 2, éd. Roguet et préface
* Par Serge Schweitzer : « Droit et économie : divorce et communauté d’intérêts, un itinéraire. » Colloque international, Université de Toulon – Pays du Var. 15, 16 avril 2014. A paraître en 2015.
* Par Serge Schweitzer : « Comme la nuée porte l’orage (Jaurés) : la mondialisation comme cause de 1914. Discussion sur le statut scientifique de cette proposition. » Colloque international du 09.04.2014. A paraître au 2nd trimestre 2015. Presses de la Sorbonne.
* Par Serge Schweitzer : Droit et Economie. 400 pages. Presses Universitaires Aix-Marseille. Prévu pour le 1er trimestre 2015.
* Par Serge Schweitzer : Etre libéral. A paraître en 2015. Préface par Walter Block.
* Par Alain Wolfelsperger, « L’attitude des médias de masse à l’égard du libéralisme économique », in le Journal des économistes et des études humaines, 2002.
Texte repris sur le site de Bertrand Lemennicier :
//lemennicier.bwm-mediasoft.com/displayArticle.php?articleId=123
* Par Gary Becker et George J. Stigler. « De Gustibus Non Est Disputandum », in The American Economic Review, 1977.
//econfaculty.gmu.edu/wew/syllabi/Econ811JournalArticles/StiglerBeckerAER.pdf
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