Charles Dunoyer, Du système de la centralisation, de sa nature, de son influence, de ses limites, et des réductions utiles qu’il est destiné à subir (Journal des économistes, mars 1842).
Réunion du 5 août 1894 de la Société d'économie politique, sur le thème : Quelles sont les limites de l’intervention de l’État en matière d’assurances ?
Examen de l'examen du livre intitulé Principes sur la liberté du commerce des grains, Supplément au onzième tome des Éphémérides du citoyen, année 1768
Disciple de Jean-Baptiste Say, Benjamin Constant n'a pas compté parmi les plus grands économistes. Peu original, Constant économiste a été oublié. Parmi les libéraux non-originaux, toutefois, il reste l’un des tout meilleurs.
Si les libéraux français veulent se faire une idée juste de l’histoire de leur tradition intellectuelle, ils doivent impérativement abandonner les préjugés qui se sont amoncelés et engager de front un réexamen.
Projet de loi, adopté par la Chambre des députés, ayant pour objet : 1 ° d'accepter une avance de 760,000 fr. offerte par la Chambre de commerce de Bayonne en vue de l'achèvement des travaux d'amélioration du p... LIRE LA SUITE
Annexe au Rapport fait, au nom de la commission chargée d'examiner la proposition de loi de M. Martin Nadaud ayant pour objet d'étendre à certains travaux des villes les dispositions de la loi du 21 juin 1865 s... LIRE LA SUITE
Dans cet article du Journal des économistes, paru en avril 1883, Ernest Martineau met le doigt sur la nature contradictoire d’un récent programme socialiste : si d’un côté on prétend sauvegarder les libertés publiques et vaincre les monopoles, de l’autre on place l’État dans une position d’omnipotence complète. Liberté ou non-liberté : il faut pourtant choisir.
Paul Leroy-Beaulieu a contribué à mettre en lumière certaines idées-forces de l’école économique contemporaine, prenant ainsi sa place dans une longue succession de grands penseurs, qui, par leurs efforts successifs, ont donné au libéralisme économique sa valeur scientifique.
« …Si la lumière n’est pas faite, si elle n’éclaire pas les couches profondes de la Société, alors des désordres graves bientôt devront surgir, et la civilisation moderne périra dans d’effroyables convulsions, sous le flot d’une nouvelle invasion de barbares. »
À toutes les époques, le libéralisme français a été traversé par deux courants : ceux qui admirent la religion catholique et la présentent comme le soutien nécessaire de l’avancée vers la liberté ; et ceux qui la condamnent, la moquent ouvertement et espéreraient qu’elle s’effaçât ou qu’elle n’eût pas existé.
Opinion de Gustave de Beaumont sur la défense des indigents dans les procès civils et criminels
(Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques — vol. XII, 1847)
M. DE BEAUMONT déclare qu... LIRE LA SUITE
Sur la question de l’impossibilité du dirigisme, le nom de Ludwig von Mises doit rester éternel. Il lui faudrait toutefois partager cette gloire avec un petit groupe d’audacieux penseurs français, les Physiocrates. Car c’est en France, dans l’agitation autour de la question — vitale au premier degré — de la liberté du commerce du blé, que les premiers arguments sur l’impossibilité du dirigisme s’étaient fait jour.