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Rendez nous la Liberté ! Par Patrick de Casanove

Etat strictement limité à ses fonctions régaliennes, privatisation, baisse des prélèvements, flat tax, amnistie, liberté économique, droits de propriétés sûrs, libre échange, innovation, expérience, responsabilité personnelle, coopération naturelle et contrats libres, sont les clés de la sortie de crise et de la prospérité. Ce n’est que de cette façon que les particuliers répareront les dégâts des Etats.
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Communiqué des économistes réunis à Lérins, en marge du G20

Les marchés financiers ne sont pas automatiquement orientés vers le bien commun. Ils le sont uniquement lorsqu’ils sont soumis à une libre concurrence basée sur des règles justes. Les désordres financiers actuels sont le résultat de règles, de pratiques et d’institutions injustes qui ont créé une véritable culture de l’irresponsabilité.
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Ernest Teilhac, L’oeuvre économique de Jean-Baptiste Say (1927)

De J.-B. Say l’on parle beaucoup. L’on en parle beaucoup sans l’avoir lu, et pour n’en point dire du bien ; les qualités de sa doctrine l’ont si vite répandue en lieux communs que s’est émoussée sa finesse. Si, par hasard, on le lit, on en dit alors du mal ; si transparente est sa pensée qu’il faut un œil singulièrement exercé pour voir autre chose que le jour à travers.
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L’origine française du Laissez-faire. Par Ayn Rand

Les industriels français du XVIIème siècle avaient plus de courage que leurs homologues américains du XXème et une compréhension plus fine de l’économie. Ils étaient conscients du fait que l’ « aide » gouvernementale au monde du travail est aussi désastreuse que la persécution gouvernementale et que la seule manière pour un gouvernement d’être utile à la prospérité de tous est de ne pas s’en mêler.
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Antony de Jasay, L’Etat. Introduction

Le présent ouvrage est divisé en cinq chapitres, qui décrivent la progression logique (donc sans référence nécessaire aux accidents de l'évolution historique réelle) de l'État, d'un extrême à l'autre, du cas limite où ses objectifs n'entrent pas en concurrence avec ceux de ses sujets, jusqu'à celui où il en est arrivé à disposer de la plupart de leurs libertés et propriétés.
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Carl Menger, entre Aristote et Hayek

Avec Carl Menger, entre Aristote et Hayek (aux sources de l’économie moderne), Gilles Campagnolo apporte une contribution nouvelle aux travaux qu’il consacre à l’étude des théoriciens de l’économie « autrichienne ». Après Murray Rothbard, sujet d’un précédent ouvrage, c’est le fondateur de ce courant théorique lui-même –Carl Menger- dont Campagnolo nous présente ici la vie scientifique, l’œuvre et la postérité.
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Histoire des doctrines économiques par Joseph Rambaud : le libéralisme éclectique

En France les doctrines allemandes, plus ou moins imbues d'historisme et de socialisme d'État, ne sont pas parvenues à dominer. Non seulement les théories des lois économiques naturelles et permanentes ont conservé leur prestige ; mais avec elles se sont aussi conservées les doctrines libre-échangistes que les premiers disciples de Jean-Baptiste Say, puis Frédéric Bastiat, avaient soutenues.
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L’état moderne et ses fonctions

Les hommes éclairés doivent s'efforcer de contenir l'ambition de l'État moderne. Le devoir de tous ceux qu'anime la volonté du bien-être général et en particulier des défenseurs de l'économie politique est d'agir, d'écrire, de parler pour ne jamais permettre à l'État de s'adjuger aux dépens de l'activité privée de nouvelles sphères d'action.
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Annulation Etatique : Réponses aux objections

Ce qui est arrivé aux États-Unis devrait servir de leçon à la France et l'inciter à résister à la centralisation politique et administrative de plus en plus poussée dans l'Union européenne. Comme le rappelle justement Thomas Woods, c'est la décentralisation du pouvoir en Europe qui a rendu possible le développement de la liberté. Puissions-nous ne jamais l'oublier.
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Jefferson vs Hamilton

Le clivage idéologique subsiste plus que jamais entre ceux qui souhaitent le renforcement des pouvoirs de l’État central (Obama) et ceux qui défendent la décentralisation (Ron Paul et le mouvement Tea Party), entre ceux qui, comme Hamilton craignent l'anarchie et pensent en termes d'ordre imposé par le gouvernement fédéral ; et ceux qui, comme Jefferson, craignent la tyrannie et pensent en termes de libertés.