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En un sens, il n’y a toujours et jamais eu que deux philosophies politiques : la liberté et le pouvoir. Le libertarianisme est parfois accusé d’être rigide et dogmatique, mais il n’est en fait rien qu’un simple cadre pour des sociétés dans lesquelles des individus libres puissent vivre dans la paix et l’harmonie.
Damien Theillier a déjà insisté dans ses textes sur le fait que la priorité pour les libéraux n'est pas le combat politique mais la bataille intellectuelle préalable sans laquelle le premier ne peut-être qu'un fourvoiement.
Jean-François Revel, dans ses nombreux livres, a toujours su merveilleusement convoquer les faits historiques, politiques et économiques pour démontrer la falsification des adversaires de la liberté.
Qu’est-ce qu’un marché libre ? Pour répondre à cette question, il n’est pas de meilleure illustration qu’un petit texte de l’écrivain américain Leonard Read, publié dans la revue The Freeman en 1958 et intitulé I, pencil, (« Moi, le crayon »).
Ce que rejette Hitler dans le communisme, ce n’est pas son socialisme, c’est son origine juive et sa tendance internationaliste. C’est pour les mêmes raisons qu’Hitler condamne le capitalisme. Écrit comme une enquête policière, dans un langage clair, ce livre s’attache à détruire un par un les mythes populaires au sujet du national-socialisme.
La solution aux difficultés de notre système de santé n’est pas dans les plans de sauvetage de la Sécu, elle est dans l’économie de marché. Elle seule autorise les progrès et les innovations qui engendrent les utilités gratuites.
La propriété est à l'ordre économique ce que le soleil est à notre monde. Celui qui se fait d'elle une idée juste et complète ne tarde pas à reconnaître qu'elle est le point central autour duquel gravite tout le reste.
Une fois ces mythes réfutés, les lecteurs seront en mesure de discuter du libertarianisme, libres de l’influence des idées fausses ; il sera alors possible de débattre de cette philosophie, d’en évaluer les mérites et les démérites.
Faire de l’entrepreneur un esclave et d’un organisme d’exécution, la volonté de la collectivité, revient à tuer toutes les valeurs de la personne humaine et priver l’économie des impulsions les plus valables.
Ce livre offre une vue très synthétique de la pensée libérale dans plusieurs de ses aspects, y compris (et surtout) les plus contestés. L’auteur cherche à illustrer que la préoccupation du libéralisme est avant tout d’ordre éthique, et non seulement économique comme beaucoup le pensent.
Ma fréquentation de l’école autrichienne d’économie a été d’une valeur incalculable pour moi, mais les témoignages personnels sur la personnalité de Mises l’ont été tout autant. Son objectif était la vérité économique, et non une position académique prestigieuse ou des récompenses superficielles.
Dans un discours de 48 minutes, Ron Paul a résumé les convictions qui ont animé son combat pour la liberté, la paix et la prospérité depuis 1976. Un véritable manifeste pour l'histoire !
La théorie libérale de la lutte de classes a émergé sous une forme policée en France, pendant la période de la Restauration, suite aux travaux de Jean-Baptiste Say et de ses disciples Charles Comte et Charles Dunoyer.
L’état-providence moderne a grandement vidé les propriétaires privés du droit d’exclusion impliqué par le concept de propriété privée. L’égalitarisme, sous toutes ses formes, est incompatible avec l’idée de propriété privée. La propriété privée implique exclusivité, inégalité et différence.
Le 14 novembre 1832 disparaissait un des plus célèbres économistes au monde : le français Jean-Baptiste Say. Le 180ème anniversaire de sa mort est l'occasion de revenir sur ce qui a fait sa renommée : la loi des débouchés.