Tous les discours sur les dangers de l’omniprésence de l’État et sur la perte de nos libertés ne servent à rien si l’on ne tient pas compte de l’impact négatif causé par ceux qui sont chargés de gérer la monnaie.
Il est temps maintenant de poser les questions subversives que l’État ne sait pas poser, ne veut pas poser : L’État est-il capable d’instruire les enfants ? Peut-on faire confiance à l’État pour instruire les enfants ?
Pour Philippe Simonnot et Charles Le Lien, la crise économique actuelle ne trouve pas son origine dans les excès du marché ou la dérégulation de la finance, mais dans l'interventionnisme extrême d'États irrespectueux de la vraie nature de la monnaie.
Résumé réalisé par M. Azerrad, directeur adjoint du Kenneth Simon Center for American Studies de Heritage Foundation. Inspiré d’un essai de Bruce Caldwell, éditeur de « The Collected Works of F. A. Hayek », dans lequel ce dernier identifie les 10 thèmes clés de la pensée de Hayek.
Comment est-ce possible que les deux parties gagnent d'un échange ? Chacune affecte une valeur différente aux deux marchandises ou services échangés, et ces différences plantent le décor pour une transaction.
Lieu des « états généraux de l’opinion européenne » avec lequel « aucune autre académie n’aurait pu rivaliser » selon Stendhal (Rome, Naples et Florence, 1817), « maison mère du libéralisme » et « lieu où souffle l’esprit libéral européen » pour Albert Thibaudet (Les idées politiques de la France, 1932) et « creuset de l’esprit libéral » si l’on en croit le titre d’un ouvrage récent publié sous la direction de L. Jaume [1] : quelle exceptionnelle institution a donc pu s’attirer et mériter un aussi flatteur concert d’éloges échappant au passage du temps ?
Il est cependant tout aussi vrai qu'un tel État aurait des fonctions nettement limitées et qu'il s'interdirait tout un ensemble d'activités qui, aux États-Unis, sont aujourd'hui celles du gouvernement fédéral et des gouvernements des États fédérés.
Tous les discours sur les dangers de l’omniprésence de l’État et sur la perte de nos libertés ne servent à rien si l’on ne tient pas compte de l'impact négatif causé par ceux qui sont chargés de gérer la monnaie.
La société est le résultat de la coopération de centaines de millions de gens, chacun agissant sur la base de sa propre connaissance unique de ses besoins individuels, talents, occupations et circonstances.
Pourquoi la démocratie ne mène pas à la solidarité, à la prospérité et à la liberté, mais aux conflits sociaux, aux dépenses publiques inconsidérées et à la tyrannie. Mythe 1. Chaque vote compte. Mythe 2. Dans une démocratie, le peuple gouverne.
Le point de départ de la philosophie de Raymond Polin est sa conception de la liberté. Il ne voit pas en elle, comme Sartre, la liberté du Dieu de Descartes rapatriée en l’homme, mais une énergie « sauvage » et créatrice.
Il n’est pas exagéré de dire que la démocratie est devenue une religion – une religion moderne, séculaire. Voilà précisément ce que nous allons faire dans ce livre: nous prononcer contre le dieu Démocratie, et notamment la démocratie parlementaire nationale.
« Un homme sans peur réussit tout ce qu’il entreprend. » Voilà en quelques mots le secret du succès dans les affaires selon Napoleon Hill, philosophe, journaliste et homme politique américain
Bastiat, comme ses précurseurs classiques Smith et Ricardo, croyait à tort (du moins explicitement) que les gens s’échangeaient des valeurs égales, qu’un échange de valeurs inégales était le signe d’un problème.
Contrairement à la théorie néo-classique, l'école autrichienne affirme que certains profits de monopoles sont moralement justifiés : les monopoles naturels ou privés. La conception dynamique du monopole développée dans ce livre se rapproche à certains égards de la conception d’Israël Kirzner.
Ce volume est le résultat des réflexions d'un économiste sur les signes de dégénérescence du monde civilisé et sur les moyens de les guérir. Dans La crise de notre temps, Ropke se livre à une critique pénétrante et lucide du monde moderne, des grands courants qui l'ont préparé et des mouvements qui l'agitent aujourd'hui.
Conférence de Philippe Simonnot le 17 octobre à 19h au 20 rue Danielle Casanova à Paris. Avec la participation du Café Liberté et la collaboration de Coucouwatcher.