Chronique (Journal des économistes, mars 1898)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de mars 1898, les ravages de l’antisémitisme, le développement du protectionnisme en France et aux États-Unis, la reprise des chemins de fer par l’État en Suisse, et ce que coûte la paix armée.

Chronique (Journal des économistes, mai 1893)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de mai 1893, la tyrannie syndicale et la manifestation du 1er mai, la protection des salaires par l’interdiction de la main-d’œuvre étrangère, la famine en Algérie, et la progression parallèle des budgets et des impositions en France.

Chronique (Journal des économistes, juillet 1882)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de juillet 1882, les subventions publiques faites à l’Opéra national, l’antisémitisme en Russie, la crise internationale autour de l’Égypte et du canal de Suez, le monopole du tabac en Allemagne, et le développement du protectionnisme en Russie et aux États-Unis.

L’émigration et l’immigration

À la toute fin du XIXe siècle, la question de la population, dont le ralentissement est un sujet de préoccupation en France, se joint à celle de l’immigration, conçue et pratiquée comme un palliatif. Pour Gustave de Molinari, l’immigration n’est pas un danger, ni un mauvais calcul. Les données de la reproduction française étant ce qu’elles sont, quelles que soient les mesures pour parvenir à la faire évoluer, le recours à l’immigration est légitime. Elle est d’ailleurs un bénéfice économique, dit-il, car elle fait obtenir des hommes faits, et économise ainsi les frais qui sont ailleurs employés pour l’enfance ou l’éducation. Quant à la crainte d’une détérioration de la population par le mélange des cultures et des races, il la conçoit comme chimérique, car tout prouve, selon lui, que ce mélange renforce plutôt qu’il affaiblit un pays.

L’échec de l’État en matière de criminalité

En juin 1855, six ans après avoir secoué la scène des économistes français avec son article « De la production de la sécurité », qui réclamait une mise en concurrence des fonctions régaliennes de l’État, c’est un thème connexe mais moins sulfureux que Molinari aborde dans L’économiste belge. Démontrant, statistiques à l’appui, le désastre de l’administration de la justice par l’État, il en fournit l’explication économique : il est impossible que la justice soit correctement administrée dans un pays où l’on charge le gouvernement de mille fonctions annexes, car c’est une vérité économique primordiale que nul ne peut assumer quarante métiers à la fois et un conseil précieux que, comme disait Adam Smith, « il ne faut pas courir deux lièvres à la fois ».

La question des logements insalubres

Dans cet article retrouvé dans la presse parisienne, Gustave de Molinari commente un récent projet de loi sur les logements insalubres. Il regrette que le législateur n’ait pas vu que l’on ne se loge pas dans un lieu insalubre par goût, mais par l’état du marché : que c’est par conséquent de concurrence et de liberté, plus que de restrictions, que la construction a besoin. Enfin, il appelle à une baisse de la fiscalité qui, sur les produits courants, aurait pour effet de libérer une part du budget des plus pauvres.

L’abolition de l’esclavage africain

Dans cet article de janvier 1890, Gustave de Molinari revient sur ses propositions pour abolir la traite et l’esclavage, sans usage ni de prohibitions ni de force, mais par le vecteur de la concurrence et de la liberté. « La prohibition de la traite, écrit-il, aurait pour résultat certain d’augmenter le déchet et les souffrances des victimes de ce commerce de chair humaine, sans y mettre un terme. Le seul moyen de le supprimer, c’est de le ruiner par la concurrence de l’exportation du travail libre. »

Chronique (Journal des économistes, décembre 1900)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de décembre 1900, le monopole des agents de change, la taxation des indigènes à la Nouvelle-Calédonie, les atrocités des pays soi-disant civilisés en Chine, le protectionnisme en Italie, et une notice de M. Picot sur Léon Say.

Chronique (Journal des économistes, juin 1900)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de juin 1900, la réglementation des marchés à terme, le monopole des agents de change, les méfaits du colonialisme à Madagascar, à la Nouvelle-Calédonie et au Tonkin, et la protection des animaux en Afrique.

Chronique (Journal des économistes, juillet 1906)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de juillet 1906, la contagion du protectionnisme en Espagne et en Suisse, l’augmentation constante des dépenses publiques en France, l’impôt proportionnel et la taxation du capital, et enfin la législation sociale repoussée par les syndicats.

Chronique (Journal des économistes, décembre 1906)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de décembre 1906, la baisse de la natalité en France, la privatisation souhaitable de la téléphonie, les persécutions des Japonais aux États-Unis, et la proscription de l’opium en Chine.

Chronique (Journal des économistes, août 1899)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison d’août 1899, les charges humaines et financières de la paix armée en Europe, l’insuffisance du budget de la police, et les effets désastreux du protectionnisme et du socialisme d’État.

Chronique (Journal des économistes, juin 1901)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de juin 1901, le sens et la portée du développement du socialisme d’État en France, un hommage rendu à la mémoire de Frédéric Bastiat, l’union douanière des pays scandinaves, et les atrocités commises en Chine par les nations soi-disant civilisées.

Chronique (Journal des économistes, octobre 1908)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison d’octobre 1908, les vœux pacifistes de Frédéric Passy, le monopole de l’État sur le téléphone, le développement de la social-démocratie allemande, et l’affaiblissement du sens moral des ouvriers conséquence des lois prétendument sociales.

Chronique (Journal des économistes, octobre 1899)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison d’octobre 1899, l’accroissement des dépenses et de la dette en France, les syndicats et les grèves, la guerre des Boers, et le ralentissement de la population dans les pays civilisés.

Chronique (Journal des économistes, juillet 1899)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de juillet 1899, l’ouverture de la profession d’avocat aux femmes, l’antisémitisme en Algérie, les colonies anglaises, la création d’une banque d’État en Suisse, et les atrocités des Américains en guerre aux îles Philippines.

Chronique (Journal des économistes, avril 1899)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison d’avril 1899, le partage de l’Afrique entre la France et l’Angleterre, le mouvement des trusts aux États-Unis et sa cause, le ralliement des élites anglaises au pacifisme, et les efforts de russification de la Finlande.

Chronique (Journal des économistes, avril 1898)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison d’avril 1898, l’antisémitisme en Algérie, le fonctionnarisme dans les colonies, la fin du privilège masculin sur les professions intellectuelles aux États-Unis, et la concurrence des races.

Chronique (Journal des économistes, mai 1899)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de mai 1899, l’impérialisme anglais et ce qu’il coûte, les progrès du protectionnisme américain, les lois ouvrières en France, la lutte entre Boers et Uitlanders, et l’impôt sur les vins.

Chronique (Journal des économistes, novembre 1897)

Chaque mois, entre  1881 et 1909, Gustave de Molinari a publié une chronique politique et économique dans le Journal des économistes, commentant l’actualité française et internationale sous un angle résolument libéral. Au programme notamment, dans cette livraison de novembre 1897, les résultats de l’assurance obligatoire en Autriche-Hongrie, la production du sucre dans le monde, la maladie des grèves et ses causes, et le succès du libre-échange en Angleterre.