Sortie de Nation, État et Économie (1919) de Ludwig von Mises

L'Institut Coppet est heureux d'annoncer la sortie en format papier et gratuitement en numérique de : Nation, État et Économie (1919), par Ludwig von Mises. Cet ouvrage, qui était déjà disponible dans plusieurs langues européennes, est publié pour la première fois en français. À l'heure où l'on commémore le centenaire de la Première Guerre mondiale, il est aussi d'une certaine actualité.
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La réception de la Dîme royale de Vauban parmi les ministres de l’époque

Grand serviteur de la monarchie auréolé de toutes les gloires, Vauban fut sévèrement persécuté à la fin de sa vie pour avoir osé décrire dans la Dîme royale (1707) la misère affreuse que l’arbitraire fiscal causait alors en France. Les ministres du temps, qui goûtaient peu les critiques à peine latentes que ce livre contenait à l’endroit de leur propre action, rejetèrent son livre comme celui d’un homme qui déraisonnait.

Laissons Faire, n°27, novembre 2018

Le numéro de novembre de la revue Laissons Faire est désormais disponible. Au programme : l'impact de la Grande Guerre sur l'histoire du libéralisme français ; la fibre écologiste de Jean-Baptiste Say ; Henry Hazlitt et sa critique de l'interventionnisme ; Tocqueville, libéral d'une espèce nouvelle ; Benjamin Constant et l'innovation ; et enfin la recension d'une récente biographie de l'abbé de Saint-Pierre.
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Cinéas, pacifiste de l’Antiquité

Cinéas fut un modèle pour les premiers pacifistes français. Repris par Émeric Crucé pour son livre Le Nouveau Cynée, ou Discours d’État représentant les occasions et moyens d’établir une paix générale et la liberté du commerce pour tout le monde (1623) il fut aussi une source d'inspiration pour le projet de paix perpétuelle de l'abbé de Saint-Pierre.

Sommaire du numéro de novembre de la revue Laissons Faire

Au programme du prochain numéro de Laissons Faire : l'impact de la Grande Guerre sur l'histoire du libéralisme français ; la fibre écologiste de Jean-Baptiste Say ; Henry Hazlitt et sa critique de l'interventionnisme ; Tocqueville, libéral d'une espèce nouvelle ; Benjamin Constant et l'innovation ; et enfin la recension d'une récente biographie de l'abbé de Saint-Pierre.
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L’abbé de Saint-Pierre, critique de Mandeville

L’abbé de Saint-Pierre reconnaît, contre une opinion fort répandue de son temps, que l’amour propre est une passion qui en soi n’est ni injuste ni blâmable. Contre Mandeville, cependant, il tient à préciser que l’amour propre n’est ainsi innocent que lorsqu’il ne fait de mal à personne et tourne à l’avantage de la société.

Sortie du numéro d’octobre de la revue Laissons Faire

Le numéro d'octobre de la revue Laissons Faire est désormais disponible. Au programme : Hayek et la connaissance dispersée, une critique de la fonction redistributive de l'impôt, l'éducation nationale vue par Dupont de Nemours, l'échec de Gustave de Molinari en politique, une recension d'un nouveau livre sur Tocqueville, et François Quesnay comme vous ne l'avez jamais vu.
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Soutenez notre grande Collection autrichienne en préparation

L'Institut Coppet se propose de publier chaque mois en format papier et numérique une édition soignée des plus grands classiques de l’école autrichienne, tous aujourd'hui épuisés ou restés inédits. Cette collection sera constituée pour un tiers de traductions inédites, réalisées par l'Institut Coppet, et pour deux tiers de traductions anciennes depuis longtemps épuisées et dont nous acquerrons les droits.

Sommaire du numéro d’octobre de la revue Laissons Faire

Découvrez le sommaire du prochain numéro de la revue Laissons Faire. Au programme : Hayek et la connaissance dispersée, une critique de la fonction redistributive de l'impôt, l'éducation nationale vue par Dupont de Nemours, l'échec de Gustave de Molinari en politique, une recension d'un nouveau livre sur Tocqueville, et François Quesnay comme vous ne l'avez jamais vu.
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Dans l’intimité de François Quesnay

Les Mémoires de Madame du Hausset sont une source très précieuse sur la vie de François Quesnay à Versailles et sur les idées qu’il tentait d’y agiter avec ses amis, les Physiocrates. Lui et Mme du Hausset étaient alors tous deux au service de la favorite du Roi, madame de Pompadour : l’un était son médecin personnel, l’autre sa femme de chambre.