Jean-Gustave Courcelle-Seneuil a défendu toute sa vie la liberté des banques, ce qui lui a valu d'être redécouvert par les partisans récents de ce système. Il a aussi apporté une contribution novatrice sur la question de l'entreprenariat avec son Manuel des affaires (1855), le premier vrai livre de gestion. Émigré au Chili, il y fut professeur et eut une grande influence sur le mouvement libéral en Amérique du Sud.
Les causes qui légitiment la rémunération des entrepreneurs ont été généralement méconnues par ceux qui se sont donné pour mission de dénigrer les patrons et de flatter les ouvriers.
En ouverture de la réédition du Crédit et des Banques de Charles Coquelin, Jean-Gustave Courcelle-Seneuil a inséré cette longue introduction pour défendre le principe de la liberté des banques, qui avait reçu s... LIRE LA SUITE
L’économie politique n’est pas une science qui peut n’être cultivée que par une poignée de spécialistes, retranchés dans leurs cabinets d’étude ou leurs bibliothèques. Pour faire sentir toute son utilité, elle ... LIRE LA SUITE
Dans une société où l’industrie est libre, l’entrepreneur, le capitaliste et l’ouvrier remplissent des fonctions diverses, mais ne forment point, comme on le dit trop souvent, des classes distinctes. Il n’y a de classes que là où certaines fonctions sont réservées par la loi ou la coutume à certaines personnes ou familles à l’exclusion de toutes les autres.
La Richesse des Nations d’Adam Smith, publié initialement en 1776, est encore aujourd’hui considéré comme l’ouvrage classique en sciences économiques, où l’on voit naître, pour ainsi dire, cette discipline aujo... LIRE LA SUITE
En matière de banque, la liberté la plus complète est encore le meilleur régime et reste infiniment préférable à toutes les inventions et combinaisons d'autorité.