Depuis plusieurs semaines, l’Institut Coppet publie en feuilleton sa traduction inédite de L’éducation gratuite et obligatoire de Murray Rothbard, un texte majeur synthétisant la position libérale sur la question de l’éducation. Cette traduction, due à Nathanael Lavaly, Claude Balança et Marius-Joseph Marchetti, est désormais disponible en format papier, avec une préface de Benoît Malbranque.
Le prix est fixé volontairement bas, à 8€. Le livre peut être acheté sur Amazon ou sur la plateforme des éditions de l’Institut Coppet
Pour faire vivre l’Institut Coppet et nous permettre de traduire davantage d’écrits, notamment de l’école autrichienne, nous vous invitons vivement à passer commande de ce petit livre, d’autant que sa lecture est très instructive, à l’heure où notre système français d’éducation nationale continue de décliner inéluctablement.
Description : Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi l’éducation nationale était un désastre, pourquoi l’on enseignait les arts plastiques ou la flute à des collégiens sachant à peine manier le langage soutenu sans fautes, pourquoi l’on en venait à supprimer les notes ou à leur retirer toute importance dans l’éducation, ou pourquoi les élèves brillants baillaient dans les classes ? C’est à ces questions importantes que répond l’économiste américain Murray Rothbard dans ce petit livre, traduit pour la première fois en français. Il souligne que, chaque enfant étant unique quant à ses capacités et ses goûts, il convient plutôt d’adapter l’éducation à l’enfant, que l’enfant à l’éducation. L’auteur expose ainsi une critique vigoureuse de l’éducation nationalisée telle qu’on la connaît de nos jours, l’accusant d’être inefficace, injuste et tyrannique. Il y défend la liberté de l’éducation et l’instauration d’un marché de l’éducation où écoles privées et éducation à la maison (homeschooling) pourraient enfin se développer.
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